- Alex Burrows ne DORT plus de la nuit....

« C’est rock and roll, il y a eu plusieurs balles courbes et de grosses montagnes russes en un an. Mais j’aime ça. Les résultats ne sont toutefois pas là cette année. »

« Oui, ça vient me chercher. Je n'en dors plus la nuit. J’ai grandi comme un partisan du Canadien, j’ai toujours voulu voir l’équipe avoir du succès. »

« J'entends les rumeurs de congédiement pour Dom. Ça vient avec le métier et le marché de Montréal. Les partisans à Montréal s’attendent à voir une bonne équipe tous les ans. Dans un changement de régime, avec les nombreux blessés et les éclosions à la COVID, c’est difficile de placer le blâme sur une seule personne. C’est là que je trouve ça injuste envers Dom. »

« Il y a des jours où on coache avec des menottes. En séries l’an dernier, on devait prendre des décisions difficiles. On avait le luxe de retrancher de bons joueurs de notre formation. Cette année, on avait parfois de la misère à trouver 12 attaquants et six défenseurs."

"Dans ce contexte, je trouve les critiques sévères pour Dom. Dans la LNH, le nerf de la guerre reste les résultats. Nous sommes au 32e rang. Quand tu penses à l’histoire du CH, c’est inacceptable. Il faut toutefois regarder et analyser les circonstances. »

« Pour moi, Dom est un coach des temps modernes. Il communique bien, il a un bon plan de match, il se prépare bien et il travaille très fort. Quand j’ai entendu la description de Kent (Hughes), j’ai compris qu’il veut un bon communicateur comme entraîneur."

"Je vois Dom tous les jours. Je peux confirmer qu’il garde toujours sa porte de bureau ouverte pour ses joueurs. Il n’hésite pas à parler aux joueurs individuellement, que ce soit avec les vétérans ou les plus jeunes. »

 "Dans mon jeune temps, quand le coach ne te parlait pas, c’était signe que ça allait bien. Quand il te parlait, tu devenais un peu plus nerveux. Il voulait parfois passer un message. Je pouvais parfois passer un mois sans parler à mon coach. »

"J'entends les rumeurs de congédiement à mon sujet. Non, je n’y pense pas trop. Mais je reste réaliste. Quand il y a un changement de régime, ça peut arriver. Je l’ai déjà vécu comme joueur à Vancouver. Tu peux retomber à zéro et ça peut sauter de tous les côtés."

«C’est une possibilité, mais je ne m’en fais pas avec ça. Je me répète, mais je me trouve chanceux d’exercer le métier que j’aime. »

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