Arber Xhekaj est vraiment en train de vivre quelque chose de tumultueux du hockey.

Arber Xhekaj vit un cauchemar qu'il n'aurait jamais imaginé. Alors que Jayden Struble s'épanouit dans la LNH, cimentant sa place et devenant l'un des favoris de Martin St-Louis, Xhekaj se retrouve coincé à Laval.

Xhekaj doit se dire que Jordan Harris et David Savard ne sont même pas encore de retour et il doit réaliser qu'il est à Laval pour le reste de l'année.

La réalité de la situation s'impose à lui de manière implacable. Les performances éblouissantes de Struble ont captivé l'attention des fans du CH, des journalistes et des entraîneurs de l'équipe. Xhekaj n'a jamais été aussi loin de  la LNH.

L'avenir immédiat de Xhekaj est-il scellé à Laval pour le reste de l'année? Voilà un scénario que personne n'aurait pu prédire, et certainement pas lui. Les aspirations de tout joueur professionnel est de rester dans la LNH, mais parfois, le destin en décide autrement.

Jayde Struble, qui a marqué son premier but hier soir, a vraiment tassé Xhekaj et maintenant, la route vers la LNH semble désormais semée d'embûches pour le défenseur "goon".

Sans oublier que Lane Hutson va rejoindre l'équipe au printemps prochain.

L'épreuve que vit Xhekaj résonnait comme un avertissement pour les jeunes joueurs qui croient que leur place dans la LNH est assuré.

Les hauts et les bas, les espoirs et les désillusions, font  partie intégrante de la réalité d'un joueur de hockey professionnel. Alors que Struble grimpe les échelons, Xhekaj se retrouve à réévaluer ses objectifs et doit trouver la force de continuer à poursuivre son rêve, même s'il doit affronter la dure réalité de la ligue américaine.

Dans ce cauchemar personnel, Arber Xhekaj deva trouver la détermination nécessaire pour surmonter l'adversité et travailler encore plus dur, espérant que la roue du destin tourne en sa faveur. C'est une période difficile, mais chaque joueur de hockey sait que dans ce sport, la persévérance fait foi de tout.

Xhekaj doit se rappeler ses années à travailler au Costco. Et se dire qu'empocher 70 000 $ dans la ligue américaine n'est pas si pire au final.

À suivre...

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