- Serge Savard met la ville de Philadelphie en FURIE!!!!!

- En continuant d'affirmer qu'ils ont VOLÉ leurs deux COUPES STANLEY par la PEUR et la VIOLENCE.

" Après leurs deux conquêtes de la coupe, on les a DÉTRUIT en 4 matchs en finale de 1976. J'ai alors crié:

« C’est une grande victoire pour le hockey ! »

"Le propriétaire de l’équipe, Ed Snider, ne m'a jamais pardonné".

« Il ne m’a pratiquement plus jamais regardé ensuite ».

« Il a fait beaucoup de commentaires en rapport avec ce que j’avais dit, mais il ne mentionnait jamais mon nom ».

« Ce fut une période noire pour le hockey. Avant ça, on voyait un bagarreur par équipe. À Montréal, on avait John Ferguson. Mais là, c’était rendu à quatre par équipe."

« Pour compliquer la situation, les règlements du troisième homme dans une bagarre et celui de l’instigateur n’existaient pas. Les gars se sautaient dessus à la moindre occasion. » 

« Quand on disputait des matchs préparatoires à Boston et à Philadelphie, on savait qu’une bagarre générale nous attendait »

« Je disais au prof Caron [qui était directeur du recrutement et adjoint du DG Sam Pollock] qu’il fallait arrêter ça et qu’on avait besoin de renfort. On appelait ces rencontres les Lions contre les Chrétiens."

« Lors de l’un de ces matchs, on s’était présenté au Spectrum avec nos joueurs les plus costauds de notre club-école. Les choses se sont calmées après ça. » 

« L’expansion s’est faite trop rapidement ».

« La Ligue nationale a élargi ses cadres de six à 12 équipes d’un coup, puis à 14, à 16 et à 18. Il n’y avait pas suffisamment de joueurs talentueux au Canada pour fournir toutes les formations."

« Les Américains commençaient à produire des joueurs. Il y avait quelques Suédois, comme Borje Salming et Inge Hammarstrom à Toronto et Anders Hedberg et Ulf Nilsson à Winnipeg. » 

« Et les frontières des pays du bloc communiste comme l’Union soviétique et la Tchécoslavaquie étaient fermées ».

« La Ligue nationale a fermé les yeux et accepté que ça se produise ».

« Les batailles et l’accrochage, notamment, sont sujets à pénalités depuis toujours. Mais c’était toléré. Je me souviens d’un match à Vancouver dans lequel Tiger Williams avait retenu Guy Lafleur sur les 200 pieds de la patinoire ! Les joueurs de petit calibre contrôlaient les meilleurs joueurs. » 

« Les discussions tournaient toujours autour de l’interprétation des règlements ».

« C’était toujours interprété de façon différente. Un jour, Jean Béliveau m’a demandé s’ils essayaient de tuer le hockey. J’avais rapporté ses propos au comité des directeurs généraux qui était présidé par Bob Pulford [qui était avec les Blackhawks de Chicago]. 

« Je n’ai jamais compris que les bagarres soient tolérées au hockey. Au football, les joueurs sont expulsés. On faisait rire de nous. » 

« J’ai toujours dit que les Flyers ont volé les deux coupes qu’ils ont remportées ».

« La Ligue les a laissés tricher. Ce fut une histoire d’horreur. Mais 1976, on était supérieurs aux Flyers. Non seulement nous étions meilleurs, mais ce que les gens ne réalisent pas, c’est que nous étions plus gros aussi. 

« Lorsque Larry Robinson a frappé Gary Dornhoefer contre la bande dans le deuxième match de la série au Forum, le choc a résonné partout dans les estrades. » 

« Ç’a pris du temps avant que les choses commencent à changer ».

« Il y a trois ou quatre ans encore, Gary Bettman disait que les bagarres faisaient partie du hockey. Ce sont les poursuites judiciaires en relation avec les commotions cérébrales qui ont contribué à faire changer les choses. 

« Aujourd’hui, il n’y a plus de place pour les joueurs sans talent. » 

Serge Savard met la ville de Philadelphie en FURIE!!!!!

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