- Le conseil de Patrick Roy à Carey Price...

«Quand tout le monde me critiquait en 1993, je me suis demandé: Le gars est à terre, pourquoi fesser dessus?  J’étais le bouc émissaire, tout le monde m’en voulait. Je savais que je n’allais pas avoir un bel été si je ne trouvais pas une façon de gagner. J’en avais plein les bras, sans avoir besoin de «dealer» avec ce qui s’en venait. Un matin, au lieu de continue à m'apitoyer sur mon sort, j'ai décidé que j'allais me relever."  

«C’est drôle, je sais pas si je refusais de vivre la pression, mais je me gardais à l’écart de tout ce qui se disait. Je me rappelle que Jacques m’avait rencontré dans son bureau après le deuxième match. Il m’a dit: «je vais vivre et je vais mourir avec toi». Pourtant, André Racicot avait connu une bonne année. J’ai apprécié ce que Jacques a fait, ç'a m’a touché et ç'a été un peu le «wake-up call» dont j’avais besoin. Je me suis dit: «aweye, let’s go, embraye»! Jacques m’a redonné confiance. En même temps, dans le troisième match, j'avais hâte qu’on marque. Hextall jouait vraiment bien. Je ne voulais pas coûter le match à l’équipe.»    

- Si seulement Carey la PRINCESSE pouvait avoir cette ATTITUDE de ROI...

 

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