Témoignage saisissant sur Michael Hage : les experts n’ont jamais rien vu de pareil

Témoignage saisissant sur Michael Hage : les experts n’ont jamais rien vu de pareil

Par André Soueidan le 2025-12-05

Impossible de rester indifférent devant ce que Michael Hage est en train de bâtir à Michigan.

Le futur deuxième centre du Canadien avance comme un joueur qui n’a pas seulement compris son rôle, mais qui est en train de le redéfinir devant nos yeux.

Et le plus surprenant, c’est que ce sont ses propres coéquipiers qui sonnent l’alarme.

Pas pour avertir qu’il ralentit.

Pour annoncer qu’il devient une anomalie statistique, technique et mentale dans le hockey universitaire.

Ce constat, il vient d’un témoignage puissant qui circule depuis quelques jours.

Un texte paru sur RG.org, signé Marco D’Amico, dans lequel Will Horcoff décrit son ascension, mais surtout l’impact démesuré de Hage sur sa propre explosion.

Rarement un espoir du Canadien a reçu une validation aussi frontale d’un autre espoir de premier plan.

Horcoff, qui vient de devenir l’un des meilleurs buteurs de la NCAA, ne se gêne pas pour dire l’indicible.

Selon lui, son succès n’existe pas sans Michael Hage.

Mieux encore, il explique exactement pourquoi ce duo marche et pourquoi Hage joue au dessus du niveau attendu pour un joueur de son âge.

« Michael fait un travail incroyable pour récupérer les rondelles, pour transporter le jeu et pour me trouver dans des espaces où je peux faire mal. On se complète tellement bien que je sais exactement où il va être », dit Horcoff.

Ce genre de phrase, dans la bouche d’un marqueur élite universitaire, veut dire une seule chose. Hage n’est pas un bon centre. Il est un moteur offensif complet.

On parle d’un joueur qui mène la NCAA avec 26 points en 18 matchs, qui fait produire ses ailiers à un rythme indécent et qui joue déjà avec une lecture du jeu qu’on attribue normalement aux professionnels.

Quand Horcoff raconte qu’il a complètement revu sa mécanique de tir en étudiant Leon Draisaitl, c’est frappant.

Mais ce qui l’est encore plus, c’est le contexte dans lequel il a pu l’appliquer.

« Hage est vraiment bon pour me trouver au bon moment », ajoute-t-il.

Autrement dit, le tir peut être élite, mais la passe qui le précède est encore plus dangereuse.

Et c’est là que les experts décrochent la mâchoire.

Hage n’a pas seulement progressé.

Il a pris les commandes d’une équipe universitaire historique et il élève tout ce qu’il touche.

Les entraîneurs le placent dans des situations limitées, il les dépasse.

On lui donne un rôle de créateur, il domine. On lui met un marqueur à ses côtés, il le propulse au sommet de la ligue.

Son intelligence de jeu, sa vision et son contrôle du tempo dépassent ce qu’on observe chez un jeune de cet âge.

Même dans les coulisses du Canadien, on commence à réaliser que la question n’est plus de savoir s’il peut devenir un centre top 6, mais plutôt à quelle vitesse.

Le témoignage d’Horcoff devient alors beaucoup plus lourd.

Parce que si un joueur affirme que Hage est la clé, on ne parle plus d’un simple fit de trio.

On parle d’un centre naturel qui voit le hockey avant tout le monde.

Et c’est exactement ce qui explique l’excitation démesurée à Montréal depuis le début de l’hiver.

Hage coche déjà les cases que l’organisation cherche depuis une décennie : créativité, rapidité de traitement, vision, maturité et une capacité rare à accélérer le jeu sans jamais perdre le contrôle.

Quand un espoir comme Horcoff déclare que leur chimie repose sur une confiance totale, que chacun sait où l’autre se trouve, et que Hage est celui qui orchestre les séquences, ça devient un message retentissant.

Un message qui justifie pleinement la phrase que plusieurs experts murmurent déjà.

On n’a jamais rien vu de pareil chez un jeune centre du Canadien depuis très longtemps.

Et cette fois, ce n’est pas du marketing. Ce sont les joueurs eux-mêmes qui le disent.

La vérité, c’est que plus les témoignages affluent, plus l’image de Michael Hage se précise.

On ne parle plus seulement d’un espoir prometteur, mais d’un centre qui force les vétérans, les recruteurs et même les joueurs à réévaluer ce qu’ils croyaient possible à son âge.

Et si le Canadien cherchait encore son deuxième centre d’avenir, il se pourrait bien qu’il soit déjà sous leurs yeux, en train de réécrire sa propre trajectoire match après match.

AMEN