- Tomas Tatar RIDICULISE ceux qui CHIÂLENT contre la BULLE...

«Ce n’est pas Alcatraz. J’étais sceptique au départ. Nous prenions du temps pour choisir les villes-bulles. Mais la LNH a bien fait ses devoirs. C’est bien de passer du temps avec les coéquipiers. Nous retournions à la maison durant la phase 3 [le camp à Brossard]. Maintenant, nous restons avec les coéquipiers. Nous passons du temps ensemble.»

- Paul Byron renchérit..

«C’était la seule option possible pour jouer. On voit ce qui arrive au baseball et au football. Pour la santé et la sécurité, c’est la meilleure façon. On ne peut pas sortir de l’hôtel. C’est un peu dur parfois, mais ça reste le meilleur choix pour notre santé. Nous avons aussi choisi deux villes au Canada [Toronto et Edmonton]. Encore une fois, c’était la bonne décision, puisque les cas de COVID-19 sont plus faibles ici qu’aux États-Unis.»

- Claude Julien se sent au PARADIS..

«C’est bien organisé. Ils ont pensé à plusieurs choses pour le bien de tout le monde. La sécurité, les tests, les repas, tout est bien fait. Ça prendra quelques jours pour s’adapter. À Brossard, c’était la même chose. Pour le moment, nous croisons les autres équipes. Ça ressemble à un tournoi de hockey quand nous étions plus jeunes. Nous restons dans les mêmes hôtels. Nous n’avons jamais expérimenté une telle situation. Notre étage à l’hôtel est décoré à nos couleurs et avec notre logo. Nous restons ensemble sur la route. Nous espérons que le voyage durera quelques mois.»

«À Brossard, nous ne sortions pas à l’épicerie et aux restaurants. C’était à l’aréna et chez nous. J’ai des voisins qui m’apportaient des choses. Maintenant, c’est resserré encore plus. Nous restons dans la bulle. Nous avons tout ce qu’il faut. Pour arriver jusqu’à la coupe Stanley, nous devrons respecter les consignes.»

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