- Jeff Petry sera échangé où?
- Quelques villes circulent en ce moment sur la TOILE..
- Chicago vient en tête de liste.
- Luke Richardson le connaît par coeur et le considère comme un 2e fils.
- Les Hawks ont de l'espace sur leur masse salariale.
- Jeff Petry pourrait guider les jeunes des Hawks.
- Les Ducks d'Anaheim sont aussi nommés.
- Un peu le même moule que les Hawks...
- Mais plus avancés dans la RECONSTRUCTION.
- Leur 3e défenseur droitier est Drew Helleson.
- Les Coyotes et André Tourigny ne diraient pas non à Petry....
- Alors que les Oilers d'Edmonton pourrait dire OUI à un retour de leur ancien protégé.
- Surtout que le CH pourrait retenur 50% du salaire de Petry...(dont 25% est déjé retenu par les Penguins).
- On aime bien Vincent Desharnais...mais Petry le mange au petit déjeuner..
- Il ne faut pas écarter Julien Brisebois et le Lightning de Tampa Bay.
- Le DG du Lightning vise encore la coupe et le côté droit de sa défensive fait DUR en TA...
- Tampa Bay, situé en Floride, serait PARFAIT pour la famille Petry.
- Les taxes les moins élevés du pays...
- Un état républicain...
- Complétement à droit..
- Des PRO-TRUMO à la PELLETÉE..
- Vraiment PARFAIT pour Madame Petry..
- Le FAVORI de la TOILE demeure Chicago pour accueillit Petry.
- Une chose est sûre..
- Il sera échangé à 1000 pour cent.
- Même le Journal de Montréal vient de se réveiller...et affirme que Petry sera ÉCHANGÉ...
- À suivre...
Jeff Petry dans l'uniforme bleu, blanc et rouge du Canadien, voilà une image que l'on ne s'attendait pas à revoir, tant la dernière saison du défenseur à Montréal a été marquée de controverses. (Jessica Lapinski, Le Journal de Montréal)
Mais Petry patinera-t-il réellement à nouveau avec le logo du CH brodé sur son chandail ou sera-t-il échangé plus tôt que tard?
Car comme le rapporte le journaliste Eric Engels, du réseau Sportsnet, les Penguins de Pittsburgh ont retenu 25% du salaire de l'arrière dans la transaction, et le Canadien lui versera donc 4,69 M$ s'il porte réellement son uniforme, plutôt que les 6,25 M$ que lui avait consentis Marc Bergevin par saison en 2020.
Kent Hughes, qui est celui qui a échangé Petry aux Penguins l'été dernier, aura donc une carte de plus dans son jeu s'il souhaite envoyer le défenseur sous d'autres cieux. Hughes avait d'ailleurs peu d'autres options que de se départir du numéro 26, en juillet 2022.
Petry avait fait parler de lui «pour les mauvaises raisons», comme on dit dans le jargon, à quelques reprises durant la campagne précédente.
Après un match, il avait notamment critiqué publiquement le système de jeu de l'entraîneur-chef Dominique Ducharme, déplorant que l'équipe «n'avait pas de structure sur la glace».
Lors du bilan de fin de saison, le défenseur s'était toutefois défendu d'avoir voulu blâmer uniquement le pilote québécois, qui avait été congédié entre-temps. «Les ajustements étaient nécessaires.
Mais je ne crois pas qu’il y avait une seule personne à blâmer. Il y avait une multitude de choses», avait-il souligné, en disant aussi qu'il n'y avait pas de «conflit personnel» entre Ducharme et lui.
Son épouse Julie avait aussi pris la décision de retourner au Michigan, là d'où Petry est originaire, en janvier, avec les trois enfants du couple. À ce moment, la p-a-n-d-é-m-i-e de C-O-V-I-D-19 battait encore son plein, et Mme Petry, native du Texas, estimait que ses garçons pourraient avoir un mode de vie «beaucoup plus normal et sain» aux États-Unis.
Mais il n'y a pas eu que du mauvais durant les huit saisons qu'a passées Petry dans la métropole. L'adaptation du défenseur acquis des Oilers d'Edmonton en 2014-2015 – en retour de choix de deuxième et quatrième ronde – à ses nouvelles couleurs a certes été longue, mais il a finalement récompensé le Canadien en signant quatre saisons de plus de 40 points, entre 2017 et 2021.
Puis, en 2022, Petry a connu une nouvelle baisse de régime, se contentant de six buts et 21 aides en 68 rencontres. Une chute qui s'est poursuivie à Pittsburgh, où le vétéran a totalisé 31 points (dont cinq buts) en 61 matchs. Et à maintenant 35 ans, il serait surprenant que le choix de deuxième ronde en 2006 retrouve sa touche offensive d'antan...