La clique québécoise du Canadien de Montréal s'est récemment retrouvée autour d'une table à New York pour une soirée mémorable, grâce à l'initiative de David Savard
Sam Montembeault went out for dinner in NYC last night with his fellow Québécois Habs teammates David Savard, Rafaël Harvey-Pinard & Joshua Roy.
— /r/Habs (@HabsOnReddit) January 18, 2024
Papa Savvy paid the bill.
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Dans un geste qui va bien au-delà des frontières du vestiaire, Savard a convié Rafaël-Harvey Pinard, Joshua Roy et Samuel Montembeault à partager un délicieux repas entre compatriotes québécois, renforçant ainsi les liens d'amitié au sein de l'équipe.
« Savard a ramassé la facture, il a dit que c’était lui qui payait, que je n’allais rien payer pendant le voyage » a affirmé Roy avec le sourire jusqu'aux lèvres. (crédit: La Presse)
"Je me sens plus à mon aise, je me sens plus comme quelqu’un de l’équipe, pas comme un remplaçant. On est sur la route, on a été manger, les Québécois ensemble. Je sens plus que je fais partie du groupe."
Cette soirée magique, où les 4 amis ont pu savourer un savoureux steak, a mis en lumière le leadership indéniable de David Savard.
« On dormait proche de New York, donc on l’a amené en ville, de l’autre côté" a affirmé Samuel Montembeault. On a eu un très bon souper. Il est un peu gêné, il ne connaît pas tout le monde. Mais hier, on a eu vraiment beaucoup de fun, les quatre Québécois ensemble, et on a vraiment passé une belle soirée. »
En agissant comme "colle social et patriotique", il a démontré à quel point il excellait dans l'art de créer un esprit d'équipe fort et un sentiment d'appartenance au sein de la communauté québécoise du Canadien.
Au-delà des performances sur la glace, qui connaît toute une saison au niveau sportif, Savard a su montrer son engagement envers la cohésion de l'équipe, le fait de guider les jeunes, de les mettre à l'aise et son désir de construire des relations solides avec ses coéquipiers québécois.
Ce comportement exemplaire devrait être un facteur clé dans la décision de l'organisation du Canadien concernant d'éventuelles transactions sur la table impliquant Savard.
En vue de la date limite des transactions le 8 mars, il est important que Kent Hughes et Jeff Gorton prennent en considération l'importance de maintenir un noyau québécois uni.
Les performance sur la glace de Savard sont exemplaires, mais son rôle en tant que leader hors glace, symbolisé par cette soirée mémorable, devrait influencer dans la décision de le protéger d'une éventuelle transaction, du moins pour la date limite du 8 mars.
Si des discussions de transactions devaient avoir lieu, la direction du Canadien de Montréal devrait envisager de conserver Savard au moins jusqu'au prochain repêchage.
Cela permettrait de préserver l'unité et la cohésion de la "clique québécoise", de garder Joshua Roy "à l'aise socialement", lui qui est très gêné, et favorisantla stabilité de l'équipe dans la course aux séries éliminatoires.
La soirée partagée autour d'un bon repas entre Québécois a mis en lumière un aspect essentiel du leadership de David Savard.
Cet événement devrait inciter la direction du Canadien à considérer le maintien de Savard au sein de l'équipe au-delà de la date limite des transactions, assurant ainsi à la clique québécoise du Tricolore qu'ils ne seront pas séparés de sitôt.
Plus Roy va se sentir à l'aise dans le vestiaire, plus il va performer. David Savard le grand frère fait donc partie de l'équation.