- TRICHEURS...

- POMMES POURRIES...

- CANCERS dans le VESTIAIRE...

- Comment gérer ces NUISIBLES si tu es Martin St-Louis...

«Martin, le défi qu’il a, c’est qu’il a des groupes différents à gérer dans l’équipe. Tu ne peux pas approcher tes jeunes et tes vétérans de la même façon." affirme Maxim Lapierre.

Présentement, on s’entend, tout ce que l’on fait, c’est pour le développement des joueurs, pour être certain que nos jeunes joueurs soient confortables.»

« Peut-être que ça lui tente, dès fois, de rentrer dans le vestiaire et de péter une crise, mais lui, dans sa tête, c’est sûr et certain qu’il se dit : «Je ne ruinerai pas la soirée de Caufield, Guhle, Suzuki, ces gars-là, même si je suis fâché contre Hoffman, Drouin, Dvorak et Anderson ». Lui, il y va pour que ces joueurs-là soient confortables et il pense à l’avenir. Je pense que c’est la bonne façon, aussi. »

- Guillaume Latendresse abonde dans le même sens...

«Où est la ligne entre : «Je donne du fil à retordre à Hoffman, à Drouin, à Dadonov… À ces gars qui, dans leur tête, ne sont probablement même plus ici, déjà, si je veux éduquer mes jeunes. »

«La ligne est mince… Parce que s’il commence à crier après Dadonov et ces gars-là parce qu’ils ne le font pas, il faut qu’il fasse la même chose avec Suzuki et Caufield, mais l’état d’esprit n’est pas le même. On est plus dans une situation : «Laisse aller Suzuki et Caufield. Laisse-les s’améliorer et apprendre. Dans six mois, les autres vont être partis. »

«Je pense qu'il y aura deux façons d'approcher les joueurs qui ne font pas le travail: avant et après la date limite des transactions. Si après la date limite, on ne s'est pas débarrassé d'une couple de problèmes et qu'ils restent ici... Si on les met pas dans les gradins, mon discours va changer. Je vais peut-être un peu plus pointer du doigt l'organisation».

«Les tricheurs, ils n’ont plus d’affaires à jouer après la date limite.»

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