Chris Boucher a lancé un message puissant à Geoff Molson et Valérie Plante : Montréal mérite une équipe de la NBA.
«Je le dis depuis longtemps, je pense qu’on devrait avoir une équipe à Montréal, mais c’est beaucoup plus difficile quand c’est juste une personne qui le dit» a affirmé le joueur québécois des Raptors qui tiennent leur camp d'entraînement à Montréal
«On a besoin de plus de support.»
Il est clair que Boucher parle directement au propriétaire du CH et à la mairesse de Montréal.
Molson, qui est aussi propriétaire du Centre Bell, a l'occasion est idéale pour maximiser l'utilisation de cet édifice taxé au possible.
Après tout, Molson paie plus de taxes municipales pour le Centre Bell que toutes les équipes de la LNH réunies. Il est temps de rentabiliser encore plus l'amphithéâtre.
Le joueur québécois évoluant avec les Raptors de Toronto, n’est pas le seul à soutenir cette idée. Les matchs préparatoires des Raptors, accueillis chaque année au Centre Bell, connaissent un immense succès, attirant une foule intense et passionnée.
D'ailleurs, le 6 octobre prochain, Montréal aura droit à une nouvelle rencontre préparatoire entre les Raptors et les Wizards de Washington, avec des joueurs de calibre tels que Chris Boucher et le prodige français Bilal Coulibaly.
Ces événements prouvent à quel point Montréal est prête à soutenir une équipe locale de la NBA.
Malheureusement, une ombre plane sur cette perspective : Valérie Plante.
Connue pour son manque d’intérêt envers les événements sportifs, la mairesse de Montréal a déjà fait échouer la candidature de la ville pour accueillir des matchs de la Coupe du monde de la FIFA 2026.
Sa réélection en octobre 2025 est incertaine, pour ne pas dire quasi-impossible et plusieurs espèrent que Luc Poirier, un milliardaire influent, prenne sa place, facilitant ainsi le chemin pour l’arrivée de la NBA.
Adam Silver, le commissaire de la NBA, a récemment confirmé des discussions avec un groupe montréalais concernant une possible expansion de la ligue à Montréal.
Cette ville, avec son bassin de talents locaux, sa passion pour le basketball, et la popularité grandissante de ce sport au Canada, est parfaitement positionnée pour accueillir une équipe.
Les joueurs canadiens, notamment ceux du Québec comme Bennedict Mathurin et Luguentz Dort, incarnent cette montée en puissance.
Silver a également fait allusion au succès de l'équipe canadienne de basketball, ce qui est un signe révélateur.
L'idée d'une expansion de la NBA est loin d'être un rêve impossible. Alors que d'autres villes comme Las Vegas et Seattle sont dans la course pour l'expansion à 32 équipes, Montréal pourrait bien décrocher une place si la ligue décide d’ajouter plus d'équipes dans les prochaines années.
La NBA aurait un objectif de 36 équipes.
Mais pour que ce rêve devienne réalité, il faut plus que la passion de quelques joueurs comme Chris Boucher. Il est essentiel que des investisseurs locaux, ainsi que des figures influentes comme Geoff Molson, s'engagent sérieusement dans cette démarche.
L'arrivée d'une équipe de la NBA à Montréal représenterait non seulement encore plus de profits pour Molson et sa gestion du Centre Bell, mais cela mettrait la ville sur la "map" internationale du sport. Après tout, la NBA est populaire partout dans le monde entirer.
Espérons que cette opportunité en or ne soit pas gâchée par la froideur politique de Valérie Plante envers le sport.
L'avenir du basketball professionnel à Montréal repose sur Geoff Molson, et le moment est venu pour le propriétaire du CH de se réveiller et de saisir cette chance.
Et le moment est venu pour les Montréalais d'aller voter en octobre 2025 pour faire élirer Luc Poirier. Car Valérie Plante a déjà montré des signes inquiétants pour ceux qui espèrent voir une équipe de la NBA s’installer dans la métropole.
Si elle est réélue en octobre 2025, elle pourrait potentiellement gâcher ce projet ambitieux pour plusieurs raisons.
Son historique de décisions anti-sportives fait peur.
Un exemple marquant est sa décision de retirer la candidature de Montréal pour accueillir des matchs de la Coupe du monde de la FIFA 2026.
Elle a justifié cette décision en expliquant que le gouvernement du Québec et la ville de Montréal n’étaient pas prêt à financer une partie des coûts.
Toutefois, plusieurs journalistes sportifs affirment que Plante, en réalité, n’a jamais été convaincue par les grands événements sportifs, préférant allouer les ressources de la ville à d’autres projets qu'elle juge plus prioritaires, comme l’environnement et les transports en commun.
Plante a souvent mis de l’avant sa gestion "cheap" des finances municipales, refusant de dépenser les fonds publics pour des projets qu’elle considère comme non essentiels.
Lorsqu’elle a retiré Montréal de la course pour la Coupe du monde de 2026, elle a clairement indiqué qu’elle ne souhaitait pas utiliser l’argent des contribuables montréalais pour compenser le manque de financement provincial.
Cette approche peureuse avait aussi fait dérailler le retour des Expos et la construction d'un nouveau stade dans le bassin Peel.
Si une équipe de la NBA débarque à Montréal, on peut s’attendre à des besoins en infrastructures et à des investissements municipaux importants.
Et là, ça risque de coincer avec Valérie Plante.
La mairesse a toujours eu du mal à jongler avec les finances de la ville, alors injecter des millions dans un projet sportif d'envergure, ça ne va certainement pas être sa priorité.
Plante a une vision bien à elle pour Montréal. Elle préfère miser sur la transition écologique, améliorer les transports en commun et revitaliser les quartiers, plutôt que d'investir dans des projets sportifs
Et disons-le franchement, elle n'a jamais caché son dégoût pour ce genre de projets qu'elle trouve trop coûteux et pas assez "rentables" pour la majorité des Montréalais.
Donc, l'idée d'amener la NBA à Montréal va directement se heurter à ses priorités politiques et financières. Ça va probablement rester un rêve lointain tant qu'elle est à la barre.
Et n’oublions pas sa relation compliquée avec les entrepreneurs privés. Plusieurs figures importantes du milieu des affaires à Montréal, comme Luc Poirier, se sont déjà plaintes du manque de flexibilité de son administration.
Poirier, un milliardaire influent, a critiqué Plante pour son manque de vision à long terme et sa tendance à compliquer les choses avec des démarches bureaucratiques sans fin.
Si une équipe de la NBA doit voir le jour à Montréal, les investisseurs privés seront absolument essentiels. Et avec Plante aux commandes, il y a fort à parier qu’elle se retrouve encore en conflit avec ces acteurs, ce qui risque de saboter le projet avant même qu’il ne décolle.
C'est pour ça que Poirier serait l'homme de la situation s'il se présente et est élu en octobre 2025.
En plus, on ne peut pas ignorer la réputation de Plante pour faire traîner les projets. Son administration est connue pour ralentir tout avec une bureaucratie interminable.
Un projet aussi complexe que l’arrivée d’une équipe NBA nécessite une collaboration rapide et efficace entre la ville, les investisseurs et les gouvernements.
Si elle continue à imposer sa lourde machine administrative, il ne fait aucun doute que ce projet pourrait tomber à l'eau.
Valérie Plante est perçue par bien des gens comme une mairesse qui ne saisit pas l’importance des grands événements pour l'image et l'économie de Montréal.
Son retrait de la candidature de la Coupe du monde en est la preuve. Cette décision a créé la colère des amateurs de sport et du monde des affaires.
Si elle est réélue, elle pourrait bien prendre la même direction en ce qui concerne l'arrivée de la NBA. Elle n'a jamais vu le sport professionnel comme un levier économique majeur pour la ville.
Bref, le message est clair : si vous rêvez de voir la NBA à Montréal, ne comptez pas sur Valérie Plante. Vous voulez vraiment que ce projet se concrétise? Il faudra miser sur Luc Poirier en 2025.