Valérie Plante explose devant la caméra: des propos inacceptables

Valérie Plante explose devant la caméra: des propos inacceptables

Par David Garel le 2025-02-24

La situation à Montréal est déjà catastrophique. 

Une semaine après la tempête, la ville est encore paralysée, des rues restent bloquées, des voitures sont toujours ensevelies sous la neige, et les citoyens peinent à circuler. Le chaos est total.

Et pourtant, alors qu’on s’attendait à ce que la mairesse s’excuse ou, à tout le moins, fasse preuve d’un peu d’empathie, Valérie Plante a choisi d’attaquer les Montréalais en direct devant les caméras.

Oui, vous avez bien lu. Plutôt que d’admettre les erreurs, elle a perdu son sang-froid.

« Moi, je veux qu'ils entendent à quel point tout le monde travaille extrêmement fort. Il n'y a personne qui se pogne le beigne en ce moment. »

Attendez… quoi ? Comment peut-elle oser parler ainsi aux citoyens qui subissent cette catastrophe ? "Se pogner le beigne" ? Depuis quand une mairesse s’exprime-t-elle avec autant de vulgarité ?

Voici l'extrait vidéo en question:

Les Montréalais sont en colère, exaspérés, à bout… et au lieu de les écouter, elle les insulte.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Après une semaine complète, seulement 59 % des rues sont déneigées.
Certains arrondissements sont encore pires, comme Ahuntsic-Cartierville, qui traîne à 46 %.
Au centre-ville, pourtant un secteur névralgique, le taux n’atteint que 57 %.

Des quartiers entiers sont encore ensevelis, mais la Ville continue de demander patience et compréhension.

« Il y a une limite, il y a un maximum qu'on peut atteindre. »

Non, madame Plante. La seule limite, c'est votre incompétence.

Mais le pire dans tout ça ? Les contraventions tombent comme de la neige en plein blizzard.

Entre le 14 et le 24 février, 6 659 constats d’infraction ont été donnés.

« Hors de question d'annuler les constats remis. »

Voici le moment où la mairesse affirme avec arrogance qu'elle ne remboursera aucune contravention. Elle préfère s'en mettre plein les poches. Un extrait vidéo qui a été la goutte de trop:

Hors de question ? Alors que Montréal est dans un état d’urgence ?

L’affaire ne s’arrête pas au déneigement bâclé et aux contraventions abusives. Il y a un détail qu’il ne faut pas oublier : chaque dollar extorqué aux citoyens sert à engraisser les coffres de la Ville… et à financer le salaire exorbitant de Valérie Plante.

Pendant que les Montréalais peinent à se déplacer, que les commerçants voient leurs revenus s’effondrer, que les services municipaux sont en crise, Valérie Plante continue d’empocher plus de 200 000 dollars par année. (211 864 dollars).

Et ces 6 659 contraventions distribuées en plein chaos hivernal, dont 5754 avec remorquage ? Elles ne tombent pas du ciel par hasard. Elles font partie d’un système bien huilé qui permet à la mairesse de garnir les coffres de la Ville sur le dos des citoyens.

Faites le calcul:

1. Montant des Contraventions

Contravention standard (sans remorquage) : 79 $

Contravention avec remorquage : 79 $ + 110 $ (frais de remorquage moyen à Montréal) = 189 $

Nouveau tarif des zones débarcadères : 309 $ 

2. Calcul des Revenus

Revenus des 5 754 contraventions avec remorquage

5 754 x 189 $ = 1 087 506 $

Revenus des 909 contraventions sans remorquage

909 x 79 $ = 71 811 $

3. Total des Revenus Générés

1 087 506 $ + 71 811 $ = 1 159 317 $

Total encaissé par la Ville en quelques jours : 1,1 million de dollars ! Et nous n'avons pas compté les contraventions à 120 dollars comme en témoignent certaines victimes de la mairesse, ni les contraventions dans les zones débarcadères. Cela veut donc dire qu'en réalité. on parle de bien plus que 1,2 millions de dollars.

Où va cet argent ? Certainement pas dans l’amélioration des services. Certainement pas pour accélérer le déneigement. Certainement pas pour aider les citoyens coincés dans un cauchemar urbain.

Non, cet argent sert à financer une administration incapable et une mairesse qui, elle, n’a aucun problème à se verser son salaire en entier, pendant que les Montréalais payent pour son incompétence.

Le Prix de Son Incompétence est bel et bien payé par les citoyens

Valérie Plante gagne plus de 200 000 $ par année, soit trois fois le salaire moyen d’un Montréalais. Et pourtant, quel service donne-t-elle en retour ?

Une ville paralysée par la neige.

Des commerçants en faillite.

Des Montréalais pris en otage par des contraventions abusives.

Un mépris total pour la réalité des citoyens.

Elle n’a aucun problème à faire pleuvoir des contraventions en pleine tempête. Elle n’a aucun problème à facturer les citoyens pour des erreurs de gestion municipales. Mais réduire son salaire ou rembourser des contraventions injustes ?

Hors de question.

Valérie Plante Prise la Main dans le Sac

Cette administration est devenue une machine à taxer et à sanctionner les Montréalais, tout en se remplissant les poches. Le lien de confiance est brisé.

Elle a échoué sur tous les plans :

Une gestion de crise inexistante.

Une arrogance insupportable.

Une politique punitive envers les citoyens.

Mais le pire, c’est qu’elle ose faire porter le blâme aux Montréalais eux-mêmes.

Elle ne s’excuse pas. Elle ne rembourse pas. Elle encaisse.

Et pendant que les Montréalais luttent pour circuler dans une ville en ruine, elle, elle continue de toucher son plein salaire… payé par les contraventions abusives qu’elle refuse d’annuler.

C’est ça, Montréal sous Valérie Plante.

Une ville où les citoyens paient toujours plus… pour recevoir toujours moins.

Geneviève, une citoyenne de Montréal, a reçu une contravention pour s’être stationnée en angle, sans qu’aucune pancarte d’interdiction ne soit affichée.

« Tout le monde était un peu mal garé. Je ne parle pas contre les déneigeuses, mais c'est juste que pour les automobilistes, c'est difficile aussi. Il faut faire preuve d’empathie pour tout le monde. »

Empathie ? Un mot qui ne semble pas exister dans le vocabulaire de Valérie Plante.

Non seulement elle ne veut rien savoir d’annuler les contraventions, mais elle ose justifier son acharnement en rejetant la faute sur la population :

« Depuis le départ, je considère qu'on fait preuve de jugement. Mais de l'autre côté, vous avez le fait de faire preuve de jugement. C'est la population qui nous dit plus vite, plus vite, plus vite. »

Donc… c’est la faute des Montréalais maintenant ?

Ils doivent vivre avec des rues bloquées, des trottoirs impraticables, une ville à l’agonie… et maintenant ils sont responsables du chaos ?

« C'est une question de sécurité publique. »

Non. La vraie question, c'est l’incompétence de cette administration.

Avec un un déneigement chaotique, des contraventions abusives, et maintenant des insultes directes envers la population, Valérie Plante vient de signer la fin définitive de sa crédibilité.

Elle quittera en 2025 heureusement.. Mais combien de temps encore Montréal devra-t-elle souffrir sous sa gouverne ?

Un mandat marqué par l’arrogance, l’échec et la déconnexion totale avec la réalité.

Les Montréalais ne l’oublieront jamais.