Valérie Plante, la mairesse de Montréal, traverse une période sombre, ayant récemment fait face à une crise majeure liée à la fermeture de terrasses lors du Grand Prix de Montréal.
Cette décision a suscité une vague de mécontentement parmi les commerçants et le public, ternissant la réputation de la mairesse.
Vendredi dernier, plusieurs terrasses ont été fermées brusquement pour des raisons de sécurité, laissant les propriétaires et les clients en furie et frustrés comme jamais.
Mme Plante a défendu la nécessité d'assurer la sécurité publique, mais a exprimé des regrets sur la manière dont les inspections ont été menées. Selon elle, un "problème de communication" est à l'origine de ce fiasco.
«Il ne faut jamais lésiner sur le travail de sécurité. Ceci étant dit, là où je suis très préoccupée, c’est la façon dont ça s’est passé."
En conférence de presse, la mairesse a manifesté une grande émotion, refusant toutefois de s'excuser formellement. On aurait dit qu'elle allait pleurer. À plusieurs reprises, on sentait qu'elle allait s'effondrer en larmes.
Elle a insisté sur l'importance de la sécurité tout en reconnaissant les torts causés par une mauvaise gestion de la situation
"Il ne faut jamais lésiner sur le travail de sécurité," a-t-elle déclaré, tout en ajoutant que le déroulement des événements était préoccupant et qu'un post-mortem administratif serait réalisé pour tirer les leçons nécessaires.
Les réactions à cette fermeture impromptue ont été vives. Un propriétaire, ému, a souligné que "pire que perdre de l'argent, c'est de perdre la face pour quelque chose d'aussi stupide".
Une restauratrice a exprimé son indignation dans une vidéo émotive, déplorant le manque de considération et la manière cavalière de cette fermeture.
Mme Plante a tenté de naviguer prudemment dans ce tourbillon médiatique, exprimant ses regrets sans accuser directement le service d'incendie ou d'autres responsables.
«Ce n'est pas noir ou blanc. Je veux bien faire les choses, parce qu'on a réussi à le faire par le passé. Pour l'instant, j'ai surtout l'impression qu'il y a eu un gros problème de communication, et ça, c'est extrêmement dommageable que ça ait mené à ça.»
"Ce n'est pas noir ou blanc," a-t-elle affirmé, insistant sur la complexité de la situation et la nécessité d'une approche nuancée.
Valérie Plante aurait pu s'excuser au nom de la ville de Montréal. Mais elle ne l'a pas fait. Elle aurait pu réagir en grande femme. Elle a décidé de tomber dans la lâcheté au lieu de dire pardon.
«Je suis désolée que ça ait mené à un chaos sur la rue Peel, mais en même temps, s'il y a des enjeux de sécurité, on ne peut pas lésiner avec ça."
"Il n'y a pas un citoyen, aucun visiteur qui va nous dire: “Ben coudonc, l'important c'est qu'on fasse la fête.” Oui, il faut faire la fête, mais de façon sécuritaire.»
«Je suis désolée, absolument, mais je ne peux pas dire, à ce moment-ci, si c'est la responsabilité d'un ou de l'autre, c'est là où il y a une petite nuance»,
Pendant que Valérie Plante faisait face à ce cauchemar, Chantal Machabée, vice-présidente aux communications de la LNH et considérée comme l'une des femmes les plus aimées du Québec, profitait paisiblement de la semaine du Grand Prix.
Sushis, vins et, soirée mondaine, plaisirs étaient au menu pour Machabée, contrastant fortement avec les épreuves de la mairesse de Montréal.
Ce contraste entre les deux femmes, l'une célébrant et l'autre confrontée à la tourmente, illustre les réalités divergentes que peuvent connaître des figures publiques.
D'un côté, Machabée incarne la popularité. la sérénité et la bonne humeur, tandis que Plante se débat avec les défis d'être la vilaine.
Valérie Plante, confrontée à une crise sans précédent, a montré une volonté de reconnaître les erreurs tout en mettant l'accent sur la sécurité.
Cependant, son refus de s'excuser pleinement et de désigner des responsables spécifiques a alimenté la controverse.
Le contraste frappant avec la tranquillité de Chantal Machabée ajoute une dimension dramatique à la situation, illustrant les hauts et les bas de la vie publique des femmes québécoises.
Alors que le ciel tombee sur la tête de Plante, elle doit trouver des solutions pour restaurer la confiance et naviguer à travers cette tempête politique.
Mission impossible. Valérie Plante est "persona non grata" au Québec. Il est trop tard. Pendant ce temps, Machabée sera toujours la plus aimée du Québec.
La mairesse et la vice-président aux communications du CH...la plus détestée...et la plus aimée...
Ainsi la va vie...