- Zach Fucale VISE Marc Bergevin!!!!!!

- Un peu plus et il le traite de MENTEUR!!!!!

«Dès mon arrivée au sein de l’équipe, les dirigeants m’ont toujours dit qu’ils avaient de grands plans pour moi et qu’ils voulaient me faire jouer dans la LNH. Pour moi, c’était une fierté. Je travaillais fort chaque jour pour atteindre les objectifs placés en moi. Quand je regarde en arrière, aujourd’hui, c’est sûr que c’est une déception pour moi de ne pas avoir eu la chance de jouer avec les Canadiens.      

«Le simple fait de ne pas avoir eu la chance, ne serait-ce qu’une seule fois, de prouver ce que je savais faire, a été très décevant. Je ne te cacherai pas que j’ai connu des moments difficiles.»     

«C’est sûr que j’étais déçu de ne pas avoir d’appel, mais j’étais aussi déçu de ne pas performer comme je savais que j’en étais capable. Et je sais que les dirigeants ont aussi dû être déçus de certaines de mes performances...»     

«Je n’ai jamais ressenti de pression. Comme je l’ai dit, j’ai toujours un partisan de l’équipe. Donc faire partie de l’organisation, c’était comme naturel. J’étais tellement fier, en tant que Québécois d’ici, que jouer à Montréal était beaucoup plus motivant que stressant. Je ne pouvais pas être nerveux. J’étais trop occupé à être fier.      

«Je ne me mettais pas plus de pression, parce que moi, en tant que gardien, mais aussi en tant qu’individu, je veux toujours être le meilleur possible. J’étais trop occupé à penser à mes propres attentes envers moi-même pour me soucier de celles des autres. Plusieurs personnes essaient de me faire dire que la pression a joué un rôle durant mon passage à Montréal, mais non.» 

- OUIN...

Il a évolué à Fort Wayne (ECHL), Chicago (AHL), Orlando (ECHL), Syracuse (AHL) et s’est engagé avec le Munich EHC en Allemagne...avant d'être libéré..   

- Lorsque la COVID-19 a débarqué..

- Fucale évoluait à Orlando dans la Ligue East Coast.      

«Ça ne me dérange vraiment pas. Je suis l’une des rares personnes au monde à pouvoir gagner sa vie en jouant au hockey. Je me sens extrêmement chanceux à tous les jours. C’est un privilège et je travaille très fort pour pouvoir continuer à jouer le plus longtemps possible. J’adore jouer au hockey et j’envisage jouer encore longtemps.      

«Ce n’est pas parce que ça n’a pas fonctionné à Montréal que je dois m’apitoyer sur mon sort. En fait, c’est pratiquement à cause que je ne joue pas à Montréal que je suis autant motivé à réussir.»     

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