Cauchemar pour Valérie Plante: la mairesse visée par l'organisateur

Cauchemar pour Valérie Plante: la mairesse visée par l'organisateur

Par David Garel le 2024-09-26

Valérie Plante se pince pour se réveiller du cauchemar...social et public...

Alors que les dirigeants de la PGA l’ont publiquement critiquée aujourd'hui pour son manque de collaboration dans l'organisation de la Coupe des Présidents, la mairesse voit la population québécoise s'en prendre à elle de manière virulente.

Ce qui devait être un moment de fierté pour Montréal s'est transformé en cauchemar social pour la mairesse, avec une vague d’indignation qui déferle sur les réseaux sociaux.

Les accusations sont graves : en quatre ans de préparation pour cet événement international majeur, les organisateurs n'ont jamais réussi à rencontrer Valérie Plante en personne avant le jour même du tournoi, une situation que beaucoup jugent inconcevable.

Voici les propos du journaliste réputé du 98,5 FM, Jeremy Filosa.

"Les organisateurs du tournoi de la Coupe des Présidents ont été très déçus de la non collaboration de la mairesse dans l'organisation de l'évènement.

Ce que l'on déplore le plus, c'est qu'en 4 ans de travail, jamais ils n'ont été en mesure de la rencontrer en personne, selon ce qu'ils nous disent.

Ils se sont croisés en personne pour la première fois seulement ce matin. Questionné à ce sujet ce matin par les médias, la mairesse a esquivé les questions, changeant rapidement le sujet.

Demandez-moi si je trouve ça normal lorsqu'on reçoit en ville un évènement international de cette grandeur?"

Ouch. Le décalage entre l’importance de l'événement et l'attitude de la mairesse a choqué les dirigeants de la PGA, qui ont exprimé leur déception face à cette nonchalance.

Lorsqu’elle a été interrogée par les médias sur cette situation, Valérie Plante a esquivé les questions, changeant rapidement de sujet, ajoutant de l’huile sur le feu d’une controverse déjà brûlante.

Les Québécois sont furieux, et les critiques à l’égard de la mairesse ne cessent de croître, aussi bien dans les médias traditionnels que sur les réseaux sociaux.

Les commentaires affluent, et ils sont loin d’être cléments. Un internaute a souligné l’ironie mordante de la situation :

« Ça fait deux fois que vous votez pour elle, edurez ! » tandis qu’un autre, visiblement frustré par l'absence de promotion adéquate, s’indigne :

« Avoir la Coupe des Présidents à Montréal, ça arrive UNE fois... c’est quoi cette nonchalance ? »

Ces voix ne sont pas isolées, et beaucoup se demandent si la mairesse a vraiment la vision nécessaire pour diriger une ville comme Montréal.

« Ne mérite pas d’être mairesse d’une ville comme Montréal. Peu de vision », résume une autre réaction sans pitié.

Valérie Plante, déjà fragilisée par ses choix controversés en matière d’infrastructures et de transport, se retrouve cette fois sous un feu nourri en raison de son absence flagrante de participation à l'organisation d'un événement international aussi prestigieux.

Cette distance entre la mairesse et l’événement contraste durement avec les attentes des dirigeants de la PGA, qui auraient espéré une collaboration plus étroite avec les autorités locales.

Le fait qu’ils n’aient réussi à rencontrer Plante en personne que le matin du tournoi est perçu comme une marque de désintérêt et de mauvaise gestion.

Ce manque de coopération a eu des conséquences réelles sur l’organisation du tournoi. Le trafic autour de l’Île-Bizard, où se déroule la compétition, est devenu un véritable cauchemar pour les résidents et les spectateurs, et la gestion des infrastructures s'est révélée défaillante.

Le pont Jacques-Bizard, dont la rénovation aurait dû être terminée cet été, est toujours en travaux, forçant tout le monde à emprunter un pont temporaire à trois voies, aggravant une congestion déjà insupportable.

Cela a transformé ce qui devait être un trajet rapide en une épreuve de plusieurs heures, au grand dam des résidents locaux, des commerçants et des visiteurs.

Les critiques ne se limitent pas aux questions de logistique. Le mécontentement va bien au-delà des embouteillages : il touche directement l’image de Valérie Plante en tant que leader.

Les commentaires en ligne la qualifient d’incompétente et de dépassée par les événements.

« Incompétence crasse. Vivement les élections municipales en 2025. Il faut s'en débarrasser », martèle un internaute.

D’autres soulignent le manque d’engagement de la mairesse envers cet événement, en la comparant à sa participation plus active dans d'autres projets, comme le Championnat de Vélo prévu pour 2026, pour lequel elle semble beaucoup plus investie.

En parallèle, des critiques plus larges sont adressées à la gestion des priorités de la ville. Beaucoup soulignent l'ironie de la situation, où Montréal dépense des millions pour accueillir la Coupe des Présidents, tout en négligeant d'autres projets locaux.

« Ils crachent le bacon pour la F1, mais pour du golf, rien ! », s’exclame un autre internaute, résumant ainsi l’incompréhension généralisée face aux décisions politiques et économiques de la ville.

L'affaire se transforme rapidement en un véritable désastre social pour Valérie Plante. Elle se retrouve non seulement critiquée pour sa gestion de l'événement, mais également pour son incapacité à répondre de manière transparente aux questions pressantes des citoyens et des journalistes.

Le fait qu'elle ait esquivé les questions lors de la conférence de presse du matin n’a fait qu'exacerber la frustration collective, faisant d’elle une cible facile pour une population déjà en colère.

Ce qui aurait dû être un moment de fierté pour Montréal s’est transformé en une crise politique et sociale pour Valérie Plante.

La Coupe des Présidents, un tournoi de golf prestigieux, est devenue le théâtre de l'incompétence perçue de la mairesse, incapable de collaborer efficacement avec les organisateurs et de garantir une logistique fluide pour un événement de cette envergure.

Les critiques s'accumulent, la population est en furie, et le cauchemar de Valérie Plante est sans fin, alors que l’échec de cette organisation vient s’ajouter à une liste déjà longue de controverses.

Plante a ignoré les appels des organisateurs de la PGA pendant les quatre années de préparation. Le téléphone sonnait, mais elle n'a jamais répondu.

Cette absence de collaboration ne fait qu’amplifier le malaise déjà ressenti par les Montréalais, qui voient leur ville sombrer encore plus dans le chaos médiatique et logistique.

Après le fiasco du Grand Prix de Formule 1, la Coupe des Présidents vient enfoncer Montréal un peu plus loin dans la dégradation de sa réputation internationale. 

Le cauchemar de la mairesse n'est pas prêt de se terminer. Encore un peu plus d'un an avant les élections municipales.