La Ville de Montréal, incapable de déneiger les rues, est pourtant parfaitement organisée pour envoyer des agents distribuer des tickets de 120 $ aux automobilistes qui n'ont pas stationné leur voiture parfaitement parallèle au trottoir.
Alors que les rues sont un véritable enfer de neige et de glace, l'administration a trouvé le temps et l'énergie pour racketter les citoyens en pleine crise. Scandaleux. Abject. Indigne d’une ville moderne.
Et comme si cette honte n'était pas suffisante, Olivier Primeau a décidé d’entrer dans l’arène.
Si Valérie Plante est devenue l’incarnation du chaos et de l’incompétence, Olivier Primeau pourrait bien être l’antidote que Montréal attendait.
Le propriétaire du Beachclub, homme d’affaires influent et voix forte du Québec, a été sans pitié :
« Malheureusement, la ville de Montréal est complètement brisée et, d’après ce que je vois parmi les candidats potentiels déclarés, personne ne semble apte à améliorer la situation de notre métropole.
Nous avons grandement besoin d’un changement de vision pour notre ville, surtout sur le plan économique. »
Primeau voit ce que tout le monde voit : Montréal est en ruines, Montréal est à vendre, Montréal n’est plus une métropole, c’est une blague.
Pendant que Valérie Plante détruit la ville avec ses décisions absurdes, les investisseurs et les entrepreneurs tournent le dos à Montréal.
Les Montréalais ont compris le message. Les appels à la candidature de Primeau explosent. Les citoyens, fatigués de voir leur ville sombrer dans la médiocrité, veulent du changement.
Ils veulent un maire qui comprend l’importance de l’économie, de la prospérité, et qui ne va pas simplement faire des beaux discours vides de sens.
Les réseaux sociaux sont en feu. La colère atteint un niveau jamais vu.
Des citoyens dénoncent l’incompétence :
« La Ville de Montréal n’a toujours pas déneigé ma rue, mais elle trouve le temps de me coller une contravention de 120 $ ! »
« 50 millions de dollars, et on en est encore là ? Qui empoche l’argent ? »
« Montréal est devenue une ville hostile à ses propres citoyens. Il faut un changement, et vite ! »
Sur X, l’indignation est totale :
« Ville de woke !! »
« Vous demandez aux citoyens d’être patients et tolérants, mais vous leur mettez des contraventions absurdes ? Vous êtes des fous. »
Les Montréalais sont à bout.
Ils en ont assez des hausses de taxes. Assez des rues bloquées. Assez des excuses bidon. Assez des décisions absurdes qui ruinent leur qualité de vie.
Où est Valérie Plante dans tout ça ?
Après une semaine de chaos, après avoir vu Montréal se transformer en champ de bataille sous la neige, la mairesse a enfin décidé d’affronter les caméras… pour demander aux citoyens d’être patients.
C’est à ce moment-là qu’une vidéo d’elle en Colombie a explosé sur le web.
Oui, pendant que Montréal était ensevelie sous la neige et l’incompétence, pendant que les Montréalais se battaient pour circuler, pour marcher, pour simplement vivre normalement, Valérie Plante souriait sous le soleil colombienen faisant la promotion d’un parc.
« Je viens juste de passer une belle journée au parc Arví. C’était fantastique et je crois que tout le monde devrait y aller ! »
Une claque en plein visage pour tous ceux qui souffrent à Montréal.
Cette crise a fait exploser le mécontentement. Et un nom revient partout : Olivier Primeau.
Les citoyens sont en train de faire un constat brutal : aucun des candidats potentiels n’est capable de sortir Montréal du désastre.
Les politiciens traditionnels ont échoué. La Ville est à l’agonie. Il faut quelqu’un avec une vision économique forte.
Quelqu’un qui comprend comment faire fonctionner une entreprise, une ville, une métropole.
Olivier Primeau, avec son influence et sa mentalité de gagnant, pourrait bien être l’homme du renouveau. Cette histoire de contravention absurde n’est que la dernière humiliation d’une longue série.
Les Montréalais ont assez payé. Assez enduré. Il est temps de tourner la page. Valérie Plante partira à l'automne 2025. Et Montréal veut du sang neuf.
Montréal veut Olivier Primeau. Car avec 50 millions de dollars, il pourrait faire des miracles.
On le répète. Cinquante millions de dollars.
C’est la somme que Valérie Plante et son administration ont engloutie pour un déneigement qui n’en finit plus. Pendant que les rues de Québec sont complètement dégagées, Montréal ressemble à une zone sinistrée. Des bancs de neige bloquent des quartiers entiers, des trottoirs sont impraticables, les transports en commun sont paralysés.
Mais au lieu de se concentrer sur la catastrophe qui se déroule sous ses yeux, l’administration Plante a trouvé une nouvelle façon d’écœurer les Montréalais : leur distribuer des contraventions absurdes.
La goutte qui fait déborder le vase. Les Montréalais ont parlé. Ils veulent Olivier Primeau pour sauver leur ville en chute libre.
Et ce n’est pas la première fois que Valérie Plante se retrouve dans l’embarras à cause de ses décisions absurdes en matière de stationnement.
Qui peut oublier la mise en place du stationnement payant 24h/24 au Complexe sportif Claude-Robillard, une mesure qui a pénalisé les jeunes athlètes et leurs familles ?
Qui peut oublier les horodateurs sur les rues résidentielles, une décision qui a fait bondir les résidents et les commerçants ?
Plante et son administration ne gouvernent plus pour la population, mais contre elle. Les Montréalais le savent. Ils l’ont vécu à chaque nouvelle taxe, chaque nouvelle entrave, chaque nouvelle contravention sortie de nulle part.
C’est dans ce contexte de ras-le-bol généralisé que le nom d’Olivier Primeau revient avec insistance. Si son entrée en politique n’est encore qu’une rumeur, la pression populaire est réelle.
Montréal veut un leader qui comprend les défis économiques de la ville, qui sait gérer une entreprise et qui ne se cache pas derrière des excuses lorsque la situation devient incontrôlable.
Primeau représente tout ce que Valérie Plante n’est pas : un entrepreneur qui sait comment redresser une situation difficile, qui comprend l’importance d’attirer les investisseurs et qui sait que Montréal ne peut pas se permettre d’être dirigée par des idéologues déconnectés de la réalité.
Les Montréalais en ont assez. Assez des hausses de taxes, assez des rues bloquées, assez de payer sans rien recevoir en retour.
Cette histoire de contraventions est une humiliation de plus, mais surtout, elle est un avertissement : si rien ne change, Montréal sombrera encore plus profondément dans la médiocrité.
Valérie Plante a prouvé, à maintes reprises, qu’elle ne comprend pas les besoins de sa ville. Son entêtement à imposer des mesures impopulaires, son incapacité à gérer efficacement les crises, et son mépris pour les commerçants et les citoyens font d’elle la pire mairesse de l’histoire moderne de Montréal.
La question n’est plus de savoir si elle sera remplacée, mais par qui. Les Montréalais n’attendront pas une autre humiliation, un autre scandale, une autre démonstration d’incompétence.
Et si Primeau se lance, la victoire ne fait aucun doute.
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