Brendan Gallagher est la vedette d'une pièce de théâtre peu glorieuse.

Oui...Brendan Gallagher se retrouve comme le principal acteur dans une guerre verbale sur les réseaux sociaux. L'objet de son animosité est Tim Stutzle, son ennemi de toujours. Son coach, Martin St-Louis, ne semble pas apprécier la mascarade que Gallagher est en train de créer.

Gallagher est en guerre verbale avec Stutzle depuis toujours, mais selon St-Louis, dont le visage voulait tout dire hier derrière le banc, cela s'est transformé en une comédie honteuse.

Les accusations de Gallagher selon lesquelles Stutzle plonge et évite les confrontations physiques ne font que détourner l'attention de l'équipe et créer des distractions inutles. Il doit passer à autre chose. Ça fait 2 ans qu'il est sur le dos de Stutzle.

St-Louis, qui semble de plus en plus tendu dans sa relation avec Gallagher, pense que ce dernier, en tant que vétéran, devrait montrer l'exemple plutôt que de se laisser entraîner dans des querelles puériles et enfantines sur les réseaux sociaux.

Il estime que Gallagher, déjà critiqué pour ses performances sur la glace en raison d'une baisse de rendement, devrait se concentrer sur son jeu plutôt que de devenir une distraction ambulante.

L'exposition de l'équipe dans cette mascarade verbale devient une source de préoccupation pour St-Louis, qui ne voit aucun avantage à cette stratégie.

Au lieu de soutenir son équipe, Gallagher semble la déconcentrer et créer une atmosphère négative qui pourrait affecter ses coéquipiers et même le coach.

La situation devient d'autant plus délicate du fait que Gallagher, souvent comparé à un éléphant dans la chambre en raison de son lourd contrat et de sa difficulté à suivre le rythme imposé par la LNH, risque de devenir une distraction majeure. En fait, il est une distraction majeure depuis deux ans.

Si cette attitude persiste, la meilleure solution pourrait être de mettre Gallagher de côté jusqu'à l'été, où l'équipe pourrait envisager de racheter son contrat.

Si on était Kent Hughes, on dirait à Gallagher d'aller se reposer à la maison, auprès de sa fiancée et de son chien, en attendant son rachet de contrat l'été prochain.

La guerre verbale de Gallagher sur les réseaux sociaux semble avoir pris une tournure néfaste pour l'équipe et pour sa propre réputation.

Martin St-Louis, conscient des enjeux, doit avoir envie de surligner l'importance pour les vétérans d'être des leaders positifs et de ne pas succomber aux provocations qui ne font que détourner l'attention de l'objectif principal : gagner sur la glace.

Non seulement Gallagher ne sert à plus rien sur la glace...il est en train de faire un clown de lui-même.

La mascarade a assez duré...

Votre Voix