- Triste nouvelle dans le monde des médias..
- Un descripteur historique combat la M-A-L-A-D-I-E avec courage...
- Claude Quenneville, l'un des plus grands descripteurs de l'histoire du hockey, est mal en point.
- Le dernier homme à avoir décrit la victoire du CH en finale de la Coupe Stanley..
- Se bat pour sa vie...
- En entrevue avec Rodger Brulotte, Quenneville tente tant bien que mal de s'exprimer.
Le 22 avril 2022, son grand ami, Guy Lafleur, est d-é-c-é-d-é. Afin d’expliquer son absence des médias à l’occasion du d-é-c-è-s de son grand ami, Claude a annoncé qu’il combattait un c-a-n-c-e-r. Sa m-a-l-a-d-i-e s’attaque aux nerfs de ses jambes, de ses mains et de sa langue, ce qui lui cause des difficultés d’élocution. écrit Brulotte dans le Journal de Montréal.
De nombreuses fois, lors de notre entrevue, il s’excusait pour ses difficultés d’élocution. Je lui disais d’être à l’aise. Je me considérais chanceux de l’écouter, car sa voix me faisait revivre mes rêves.
Après 40 années passées à Radio-Canada, il a quitté la société d’État pour une retraite bien méritée.
Claude a toujours été un bagarreur qui n’a jamais craint de faire face à l’adversité. Il a vécu deux horribles années en c-h-i-m-i-o-t-h-é-r-a-p-ie sachant bien que nous n’avons pas encore trouvé la médication pour vaincre son c-a-n-c-e-r.
Juste avant qu’on se quitte, il m’a souligné que depuis huit ans, il se bat contre son c-a-n-c-e-r, il a un stimulateur cardiaque (pacemaker).
Cependant, il joue encore au golf et il profite du moment présent chaque jour. Il a trouvé le moyen de me faire sourire en me racontant des épisodes de sa vie et en me rappelant que malgré sa m-a-l-a-d-i-e, il a toujours l’intention de se battre, car il y a des personnes qui vivent de moments plus difficiles que lui.
- Quelle tristesse...
- Nos pensées et nos prières sont avec lui.
- On conseille à Félix Séguin d'écouter des vidéos d'archive de Claude Quenneville...
- Il pourrait tellement s'améliorer.
- Quenneville avait une voix douce, posée, calme et émotive en même temps.
- Nous sommes sans mot devant le drame qu'il doit affronter jour après jour.
- Bon courage Monsieur Quenneville.