Dans le monde virtuelle de la séduction, les joueurs de la LNH sont souvent confrontés à une tentation croissante : celle des influenceuses numériques.
Qu'on parle de simple influenceuses ou de modèle "OnlyF", ces demoiselles visent souvent les sportifs professionnels afin de les séduire et les fréquenter, premièrement en ligne, puis dans la vraie vie.
Et l'intérêt est réciproque. On nous dit que plusieurs joueurs du Canadien de Montréal sont très très actifs sur la plateforme "OnlyF", Cole Caufield en première ligne.
Dans la tête de Caufield et ses coéquipiers célibataires, ces demoiselles sont le "summum" de la beauté et même s'ils peuvent avoir toutes les femmes qu'ils veulent, ils préfèrent payer en ligne pour créer une relation virtuelle, ayant comme objectif de fréquenter la demoiselle en vraie vie par la suite.
Mais il semble que de plus en plus de sportifs professionnels se font avoir par des créations d'intelligence artificielle (IA) qui, malgré leur apparence séduisante, ne sont rien d'autre que des programmes informatiques sophistiqués.
Imaginez : des avatars féminins aux tenues ajustées et aux chevelures impeccables, séduisant les joueurs avec des mots doux et des promesses envoûtantes.
Pour certains, ces "fake influenceuses" sont devenues une véritable obsession, les attirant dans un monde illusoire où la réalité se mêle à la fiction.
L'IA, en plein essor dans tous les domaines, a également infiltré le domaine de la séduction en ligne. Elle offre aux joueurs de la LNH une alternative aux relations humaines, souvent perçues comme compliquées et exigeantes.
Plus besoin de subir les aléas des relations interpersonnelles ; les faux charmes des influenceuses virtuelles semblent bien plus attrayants et moins contraignants.
Des programmes comme Sora, développé par OpenAI, permettent de créer des interactions vidéo plus réalistes que jamais. C'est rendu que plusieurs modèles "OnlyF" sont en fait des "fausses femmes" de l'intelligence artificielle.
Des échanges en apparence authentiques, mais entièrement contrôlés par des algorithmes. Et les joueurs, souvent naïfs face à cette nouvelle forme de séduction, se laissent prendre au piège sans se rendre compte de la supercherie.
Certains utilisateurs avancés de ces technologies, tels que Charles Sterlings, ont même poussé le réalisme à un niveau encore plus troublant.
Grâce à des outils comme Deepshot, ils peuvent créer des "deepfakes", des vidéos dans lesquelles les influenceuses semblent parler et interagir comme de véritables personnes. Une illusion parfaite, mais dénuée de toute authenticité.
Cependant, malgré la montée en puissance de ces "fake influenceuses", certains experts restent sceptiques quant à leur impact à long terme.
Ils soulignent les risques de dépendance et d'isolement social que peuvent engendrer ces relations artificielles. Et tandis que le marché de la séduction en ligne continue de croître, des questions éthiques émergent quant à l'utilisation de l'IA à des fins manipulatrices.
Dans ce paysage numérique en constante évolution, les joueurs de la LNH doivent rester vigilants et conscients des pièges tendus par ces faux profils.
Car derrière les apparences séduisantes se cachent des programmes froids et dénués d'émotions, incapables de fournir le véritable soutien et l'affection dont les humains ont besoin et dont le but ultime est de soutirer de l'argent aux jeunes hommes riches un peu naïfs.
La technologie peut être fascinante, mais elle peut devenir très sombre. C'est connu de tous. Les joueurs de la LNH et les modàles "OnlyF" sont devenus un cocktail dangereux. Parlez-en à Cole Caufield.
Alors imaginez deux secondes si la modèle "OnlyF" de l'autre côté...n'existe pas...
Caufield doit faire attention à son 7,85 millions de dollars par année. Qu'il s'assure de dépenser ses sous pour une "vraie femme"....