Congédiement au Minnesota. Dean Evason perd son emploi, tout comme son adjoint Bob Woods. John Hynes le remplace.

Encore et toujours les mêmes entraîneurs-chefs qu'on recycle. L'ancien entraîneur-chef des Devils et des Predators revient donc à barre d'une équipe de la LNH.

Pendant ce temps, Patrick Roy doit se dire que personne ne le veut. Imaginez combien ça fait de temps qu'il attend sa chance et personne ne lui donne.

Peu importe qui sera nommé DG des Sénateurs d'Ottawa, cela semble bel et bien sa dernière chance.

Pour ce qui est du Wild, tout le monde s'attendait à un congédiement un jour ou l'autre. L'équipe avait de grandes ambitions cette saison et se retrouve dans la cave.

Le DG Bill Guérin croit encore aux séries et ne veut rien savoir de lancer la serviette pour viser Macklin Celebrini ou un autre prodige.

Il a été clair là-dessus. Son but est de se qualifier pour le tournoi printanier. Voilà pourquoi il voulait un entraîneur-chef d'expérience en John Hynes.

Une autre preuve que Martin St-Louis est "gras dur" à Montréal. Comme Michel Therrien l'affirme haut et fort, St-Louis n'a aucune pression de performer, vu qu'il n'y a aucune attente et que l'équipe est en reconstruction.

Dans un Country Club, l'entraîneur-chef ne sera jamais en danger tant et aussi longtemps que ses amis seront ses dirigeants.

Therrien n'avait pas ce luxe et devait se qualifier pour les séries année après année. Du côté de St-Louis, on pourrait ne pas voir l'équipe s'améliorer d'ici 2025 et Kent Hughes lui offrirait quand même une prolongation de contrat.

Oui...l'expression "gras dur" s'applique exactement à Martin St-Louis. Il ne sera jamais en danger. Le jour où il voudra quitter Montréal, il va le faire par lui-même. Ce n'est jamais Kent Hughes qui va lui montrer la porte de sortie...

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