- BOOM!!!!

- Connor Bedard pourrait devenir un HABS...le 8 mais...

- Tous les yeux du Québec seront RIVÉS vers la LOTERIE de la LNH...

- Le père du PRODIGE, Thomas Bedard, prie pour qu'il devienne un membre du Tricolore.

«Montréal, ce serait incroyable! Je sais que c’est un endroit où la pression est grande, mais j’ai grandi en regardant les Canadiens des années 70 et ce serait fantastique de voir Connor atterrir avec le CH.»   

«Il y a 50 ans, avant ma naissance, la famille Bedard était installée dans la ville de Québec. Depuis, notre clan a bougé dans l’Ouest canadien. C’est là où je suis né et où Connor est né. J’ai appris cela il y a quelques années à peine. Je souhaite assurément retourner au Québec un jour, donc si jamais c’était pour Connor, cela ferait beaucoup de sens pour notre famille.»

"Je ferai la même routine de superstition que lors de ses matchs pour qu'il soit repêché par le CH. Pour ma part, lorsque Connor joue, je porte toujours le même t-shirt où il est inscrit le mot "humble". J’ai aussi développé l’habitude de passer un paquet de gomme par période. À chaque nouvelle présence de Connor sur la glace, je change ma gomme. La sœur de Connor, Madison, porte également le même chandail à tous les matchs. C’est étrange, je l’avoue, mais tout ce que nous pouvons faire pour l’aider... on le fait!»

«Nous lui parlons chaque jour! Avant les parties et avant qu’il aille se coucher. Il est très occupé, mais c’est important pour nous de lui demander comment il a apprécié sa journée et de lui dire bonne nuit. Il demeure notre garçon!»

«Son parcours en est tout un, je dois l’avouer. Mais sans dire que c’est devenu normal, il faut comprendre que Connor est mon enfant et que je le vois évoluer depuis longtemps. Son évolution et son cheminement se sont faits sur une longue période, donc ça nous a laissés le temps d’assimiler cette réalité. Mais il trouve toujours le moyen de nous surprendre!»

«Ce que Connor fait sur une glace et le travail qu’il met à vouloir être le meilleur, ça ne s’enseigne pas. Il faut vraiment lui donner tout le crédit. Il adore le hockey plus que n’importe quoi depuis qu’il a trois ans.

«Je ne compte plus les heures où je l’ai aperçu en train de travailler ses tirs, son patinage où sa compréhension du jeu. Il est toujours en train d’écouter des vidéos de hockey. C’est fou! Parfois, j’allais voir ma femme et je lui disais : "qu’est-ce qui se passe avec notre fils? Est-il ok?". Connor est un grand travaillant. Sa sœur est une gymnaste et il voulait constamment l’accompagner à l’entraînement pour, disait-il, être plus complet. Il faut croire qu’il était né pour ce sport.»

«Il a instinctivement été attiré par les bâtons de hockey. Dès l’âge de deux ans, il avait toujours son mini-bâton dans les mains et sa balle à proximité. Il ne jouait qu’avec ça! Lorsque nous écoutions la télévision, il n’avait que très peu d’intérêt, mais quand les faits saillants de la LNH étaient à l’écran, il fixait le téléviseur sans arrêt!»

«Il a commencé à patiner à trois ans avec une barre d’appui, à la patinoire municipale. Puis, à quatre ans, il a fait ses débuts au hockey.»

«Au début, comme tous les enfants, il tombait et se relevait. Mais les mois ont passé et nous avons rapidement compris qu’il était en avance. Au début, ma femme et moi le savions tous les deux, mais refusions inconsciemment de nous en parler. Puis vînt un moment où j’ai pris ma femme à part et je lui ai dit : "ok. comment fait-il pour faire tout ça? Ses tirs, ses feintes... Je ne suis même pas capable de faire ce qu’il fait et je suis son père!"

«Lors de son premier match officiel, il a vraiment démontré des qualités que les autres jeunes n’avaient pas. Pouvais-je dire à ce moment qu’il serait le Connor Bedard que l’on connaît aujourd’hui? Absolument pas. Mais il faisait des petites choses anormales pour un garçon de son âge.» 

 

Votre Voix