Elias Pettersson refuse toujours d'entamer les négociations avec les Canucks de Vancouver.
Le Canadien de Montréal se retrouve au centre de l'attention avec tout l'argent disponible sur la masse slariale, alimentant les discussions avec des scénarios audacieux et des possibilités enflammées.
Avec une réserve financière impressionnante de 19 millions de dollars disponibles sur sa masse salariale, le club possède une flexibilité financière sans précédent, ouvrant ainsi la voie à des manœuvres sur le marché des joueurs autonomes et des transactions inédites.
Le #CH aura +- 19,000,000$ de lousse sur la masse dès le 1er juillet (avec Price sur la LTIR) avec 21 joueurs sur la formation et seulement Xhekaj et Ylönen à signer.
— Marc-Olivier Beaudoin (@MOBeaudoin1) February 2, 2024
Ils ont également 23 choix lors des 2 prochains repêchage dont 11 dans les 3 premières rondes.
Malgré la hausse…
Même sur le marché des joueurs autonomes avec compensation.
Au milieu de cette mer financière, une cible brille de tous ses feux : Elias Pettersson. Considéré comme l'un des meilleurs joueurs au monde, Pettersson assurément dans le TOP 5 de la LNH au niveau talent.
Elias Pettersson takes home the Passing Challenge title 🏆
— The Athletic NHL (@TheAthleticNHL) February 3, 2024
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Si les choses tournent mal entre les Canucks et le Suédois, c'est le Canadien qui semble être en meilleure position pour le courtiser.
Avec des ressources financières abondantes, Montréal pourrait soumettre une offre hostile à Pettersson, le propulsant ainsi au sommet de la hiérarchie des salaires de la ligue.
Oui. Le Canadien de Montréal a les capacités de faire de Pettersson le joueur le mieux payé de la LNH avec un salaire annuel de 13 miilions de dollars.
Cependant, la question cruciale demeure : Kent Hughes, le directeur général du Canadien, sera-t-il prêt à sacrifier quatre choix de première ronde pour sécuriser les services de Pettersson via une offre hostile?
Alors que le talent de Pettersson fait saliver, un tel pari comporte des risques considérables, notamment la perte de choix de repêchage précieux qui pourraient façonner l'avenir de l'équipe pour les années à venir.
Malgré les incertitudes entourant une offre hostile, l'ambition du Canadien ne connaît pas de limites. Si Pettersson ne parvient pas à s'entendre avec les Canucks de Vancouver, Montréal pourrait aussi se positionner comme la destination de choix en offrant un ensemble alléchant en retour.
On parle ici de propositions impliquant des joueurs-clés comme Nick Suzuki ou Kirby Dach, ainsi que des choix de première ronde et des espoirs prometteurs. Une telle offre pourrait être difficile à refuser pour les Canucks, offrant au Canadien une opportunité en or de renforcer son alignement avec un centre de calibre élite.
Elias Pettersson à Montréal: Nick Suzuki n'est pas un premier centrehttps://t.co/8vxpgvjSU5
— hockey30.com (@HOCKEY30_com) January 20, 2024
Dans cette course effrénée pour attirer Pettersson, le Canadien de Montréal émerge comme le prétendant le plus prometteur dans l'optique où les Canucks n'auront pas la place nécessaire pour faire de Pettersson le joueur le mieux payé de la LNH.
Avec des ressources financières considérables à sa disposition et une volonté affichée de bâtir une équipe compétitive, Kent Hughes doit être prêt à tout pour concrétiser ce coup de maître.
Alors que Pettersson refuse toujours de négocier avec les Canucks, préférant se concentrer sur cette saison où les Canucks sont favoris pour remporter la Coupe Stanley, une chose est certaine : le Canadien doit tout faire pour écrire un nouveau chapitre de son histoire, avec Elias Pettersson.
Dans la vie, il faut rêver. Et c'est souvent en rêvant qu'on atteint nos ambitions les plus folles...