La saga de Marc Bergevin est sans fin. Et elle a pris un nouveau tournant qui suscite des murmures de mécontentement à Los Angeles.

Alors que les Kings étaient en pleine ascension, leur destin a pris une tournure sinistre dès l'arrivée de Bergevin, engagé par Rob Blake en tant que conseiller spécial. Depuis lors, les nuages noirs semblent s'accumuler au-dessus de la franchise.

Le coup de grâce semble avoir été porté lorsque les Kings ont sacrifié une fortune monétaire et sur le marché des transaction pour acquérir Pierre-Luc Dubois, un mouvement qui a marqué le début de leur descente aux enfers.

L'échange, souvent perçu comme déséquilibré, a semé la discorde parmi les fans et a déclenché une série d'événements malheureux.

Le coach Todd McLellan a été congédié dans un effort pour apaiser les tensions grandissantes, mais la situation n'a fait qu'empirer.

Dubois, autrefois un espoir prometteur, est maintenant devenu l'épicentre de la frustration et du ressentiment. Sa performance décevante sur la glace et les tensions internes ont créé un climat toxique au sein de l'équipe.

Les supporters, autrefois enthousiastes, se sont retournés contre lui, amplifiant encore davantage les problèmes de l'équipe.

Pendant ce temps, à Montréal, Kent Hughes est célébré comme le roi du monde du hockey. Sous sa direction, le Canadien de Montréal a accumulé un impressionnant arsenal de choix de première ronde sur le marché des transactions, totalisant cinq sélections en seulement deux ans.

Comparativement, le règne de Bergevin à Montréal semble marqué par une série de décisions discutables et de transactions douteuses.

En effet, alors qu'il était à la barre du Canadien, Bergevin n'a réussi à obtenir qu'un seul choix de première ronde en douze ans, une statistique qui en dit long sur son bilan en matière de gestion des actifs.

Même ce choix a été gaspillé dans une transaction qui a laissé les partisans perplexes, optant pour Christian Dvorak au lieu de capitaliser sur d'autres opportunités.

Aujourd'hui, il semble que les jours de Bergevin à Los Angeles sont comptés. Sa réputation ternie et ses décisions contestées ont érodé la confiance de son patron Rob Blake. qui regrette sa décision de l'avoir engagéé.

Avec des rumeurs de renvoi qui tourbillonnent à Los Angeles en vue de cet été, il est possible que Bergevin se retrouve bientôt à chercher un nouvel emploi dans le monde du hockey, un monde qui semble de plus en plus prêt à tourner la page sur son chapitre tumultueux.

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