Marc Bergevin a commis quelque chose de grave. De très grave.

Tout a commencé lorsque Gilbert Delorme a choqué le Québec en affirmant que Marc Bergevin avait manqué de respect envers deux icônes du hockey québécois, Jean Béliveau et Guy Lafleur.

La raison? Bergevin aurait refusé à ces légendes vivantes l'accès au stationnement des joueurs, préférant les éloigner du corridor menant au Salon des Anciens, un espace où les anciens joueurs se réunissent pour échanger des souvenirs et des anecdotes.

Sa raison? Leur passage dans le corridor dérangeait les joueurs actuels de l'équipe. Cette nouvelle a eu l'effet d'un tremblement de terre dans la communauté du hockey québécois.

Bergevin voit maintenant sa réputation être trainée dans la boue. Les fans expriment leur indignation sur les réseaux sociaux, les chroniqueurs sportifs sont outrés, et les anciens joueurs sont insultés.

Pourtant, au milieu de ce tumulte médiatique, Élise Béliveau reste calme et réservée. Contrairement à ce que l'on pourrait attendre, elle n'a pas encore réagi publiquement à cette affaire.

Certains la décrivent comme une femme de grande dignité, choisissant de garder ses pensées et ses sentiments pour elle-même, même lorsque l'honneur de son défunt mari est remis en question.

Peut-être qu'elle trouve la force dans les souvenirs de Jean, se rappelant de l'homme humble et respecté qu'il était, préférant laisser ses actions parler pour lui.

Ou peut-être qu'elle attend simplement que la tempête médiatique se calme avant de prendre la parole, ne voulant pas ajouter de l'huile sur le feu d'une situation déjà tendue.

Quelle que soit la raison, Élise Béliveau reste une figure de grâce et de dignité dans un monde où les passions et les émotions peuvent souvent être en ébullition.

Son silence veut tout tdire, rappelant à tous que parfois, la meilleure réponse est celle qui n'est pas prononcée.

Une chose est certaine. Elle ne le pardonnera jamais à Marc Bergevin..

Votre Voix