Luc Poirier, le magnat de l'immobilier québécois, est une figure de plus en plus présente au sein de l'élite des millionnaires, bientôt milliardaires, affichant une passion dévorante pour l'adrénaline et le luxe extravagant.

Sa personnalité excentrique et son appétit insatiable pour les expériences hors du commun le démarquent comme le parfait compagnon pour le magnat des médias Pierre-Karl Péladeau dans sa quête de ramener les Nordiques à Québec.

Poirier, animé par une soif d'aventure sans bornes, trouverait dans les Nordiques une toile de fond idéale pour ses escapades extravagantes.

Pour lui, voyager en jet privé est une banalité, posséder des yachts somptueux de plus de 100 mètres est la norme, et l'idée d'explorer l'espace l'excite au plus haut point.

Sa collection de voitures de luxe, comprenant toutes les Ferrari depuis les années 1970, est une manifestation de son penchant pour l'exclusivité et le raffinement. Mais au-delà de la possession matérielle, c'est son désir ardent de repousser les limites qui définit son parcours.

Poirier aurait pu être le premier touriste canadien dans l'espace, ayant déposé un versement chez Virgin Galactic pour aller dans l'espace, mais même lorsque ce rêve s'est évanoui, son ambition reste inébranlable. Il est prêt à relever n'importe quel défi, que ce soit gravir l'Everest ou conquérir de nouveaux horizons dans les affaires.

« Les vols devaient commencer en 2012, ils ont toujours été reportés. Finalement, j’ai récupéré mon dépôt. J’y pense encore. Je vais y aller un jour, dans l’espace. » Autre extravagance ? « En 2009, j’ai fait l’ascension de l’Everest, le coût : 100 000 $, mais c’est surtout le temps que ça prend, deux mois ! » (crédit: La Presse)

Devenir partenaire de Pierre-Karl Péladeau dans le projet de ramener les Nordiques à Québec serait un projet excitant pour pourrait lui procurer cette adrénaline tant recherchée.

Certains pourraient critiquer ces extravagances comme des caprices de l'élite, mais pour Poirier, l'argent est synonyme de liberté et d'opportunité. Sa propre ascension depuis les rangs de la pauvreté témoigne de sa conviction inébranlable envers le pouvoir transformateur de la richesse.

Alors que le prix d'une expansion dans la LNH serait autour de 1 milliard de dollars, parions que ça ne ferait pas peur à Poirier.

Pourtant, au-delà de la quête incessante de sensations fortes et de possessions matérielles, des voix s'élèvent pour questionner la nature même du bonheur.

Des experts soulignent que l'argent peut apporter du contentement jusqu'à un certain point, mais au-delà, il devient superflu pour le bien-être émotionnel.

Malgré tout, pour des figures comme Poirier, la richesse va au-delà de la simple acquisition de biens. C'est un moyen de se démarquer, de s'affirmer et d'inspirer l'admiration.

"Si, à 14 ans, je n’en avais pas voulu plus, je serais sur l’aide sociale, comme ma mère l’était. Pour moi, l’argent, c’est la liberté », confie-t-il.

"Quand on dit que l’argent ne fait pas le bonheur, je ne suis pas d’accord. Je reviens d’un voyage en Italie, et si j’avais un boss et un travail normal, je ne pourrais pas faire 10 voyages par année et prendre soin de ma famille comme je le fais."

Dans une société où la consommation est élevée au rang de vertu, la démonstration de richesse devient un langage à part entière. On le verrait tellement propriétaire des Nordiques.

Luc Poirier incarne à la fois le paradoxe et la fascination de l'élite des millionnaires, bientôt milliardaires, prêts à repousser les frontières de l'expérience humaine, qu'il s'agisse de conquérir l'espace ou de ramener une équipe de hockey légendaire dans son Québec natal.

Le Journal de Montréal affirme que Pierre-Karl Péladeau a besoin de partenaires aux reins solides qui ne se feraient pas marcher sur les pieds.

Luc Poirier est le candidat idéal.

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