Honte à Pascal Vincent. Lors de son premier match à Montréal en tant qu'entraîneur-chef, le Québécois a dit à ses joueurs de blesser l'adversaire?

Ou simplement de jouer physique? Car sur la glace en ce moment, c'est une véritable boucherie.

Arber Xhekaj n'a pas accepté de se faire plaquer par derrière par Dmitri Voronkov. 

La bagarre s'est suivi, mais cela a privé le CH d'un avantage numérique.

Les coups sales des joueurs des Blue Jackets pleuvent comme une pluie torrentielle.

Trop facile de viser le coach dans cette situation? Nous sommes désolés, mais il est clair que Vincent avait des directives claires faites à ses joueurs.

On ne voit pas une équipe jouer aussi sale sans que le coach n'y soit pour quelque chose.

C'est pour ça que nous voulons Nicolas Deslauriers à Montréal. Pour un match de cette intensité physique, pour ne pas dire de violence gratuite, il nous faut un 2e goon.

C'est bien trop facile de sortir Xhekaj de son match. Tu n'as qu'à le frapper par derrière, le faire jeter ses gants et tu te débarrasses de lui.

Après, tu peux faire mal au CH de toutes les façons possibles.

Espérons que cela va convaincre Kent Hughes d'aller chercher Deslauriers en envoyant Joel Armia à Philadelphie. Au pire Kent, retiens un peu du salaire du Finlandais.

Le Québec en entier veut Deslauriers de retour. Ce soir, on se fait marcher dessus. Dans notre propre building. On ne peut pas accepter une telle humiliation.

Surtout que la stratégie de Vincent a marché. Le CH joue avec la peur au ventre. Et Columbus en profite...

Votre Voix