Luc Gélinas, journaliste sportif bien connu au Québec, a toujours été reconnu pour sa passion et son dévouement envers le hockey, en particulier en ce qui concerne le Canadien de Montréal, lui qui est à l'emploi de RDS depuis des lunes.

Toutefois, une critique persistante qui lui est adressée concerne son niveau d'aisance en anglais, une langue qu'il semble avoir du mal à maîtriser pleinement.

On se questionne sur la légitimité de demander aux joueurs du Canadien de Montréal d'apprendre le français, alors que des journalistes francophones, tels que Luc Gélinas, ne sont pas tout à fait à l'aise dans la langue anglaise.

Cette situation n'a jamais soulever de préoccupations pour les dirigeants de RDS alors que pourtant, l'anglais prédomine dans la LNH.

On peut dire ce qu'on veut de Renaud Lavoie, mais le journaliste est souvent cité en exemple en raison de sa maîtrise parfaite du français et de l'anglais. Son bilinguisme fluide lui permet d'interagir aisément avec les joueurs, renforçant son professionnalisme et sa crédibilité dans le domaine, quoiqu'on en dise.

Luc Gélinas, qui travaille à RDS depuis q989, semble être l'exception à cette règle. Malgré pratiquement ses trois décennies d'expérience dans le domaine, il semble toujours éprouver des difficultés en anglais. Cette réalité pose la question de savoir si les journalistes sportifs devraient être bilingues pour assurer une communication fluide avec des joueurs provenant de divers horizons linguistiques et dont la langue commune est l'anglais.

Certains pourraient soutenir que les compétences linguistiques ne devraient pas être un critère déterminant pour exercer le métier de journaliste sportif, car la qualité du travail repose avant tout sur la connaissance du sport et la capacité à raconter des histoires.

Toutefois, dans un contexte où le multilinguisme est de plus en plus valorisé sur la planète, on estime qu'une maîtrise adéquate de l'anglais est essentielle pour un journaliste sportif couvrant une équipe de renommée internationale et historique telle que le Canadien de Montréal.

Luc Gélinas, en dépit de ses années d'expérience, incite à une réflexion sur la place du bilinguisme dans le domaine du journalisme.

Les joueurs du CH doivent se gratter la tête quand on leur met la pression d'apprendre le français et que le journaliste principal de RDS semble encore avoir de la misère avec son anglais.. 

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