Jesperi Kotkaniemi a connu un début de saison prometteur avec les Hurricanes de la Caroline, affichant des statistiques impressionnantes avec un point par match lors du mois d'octobre (12 points en 12 matchs). Au point que Jason Pominville a osé le comparer à Juraj Slafkovsky

Cependant, au fil des semaines, son attitude et ses performances sur la glace ont pris une tournure qui laisse place à la réflexion sur le karma.

Lorsque que tout le monde parlait de ses succès personnels, Kotkaniemi n'a pas manqué une occasion de critiquer ouvertement l'organisation du Canadien.

Ses déclarations, remettant en question les choix des entraîneurs passés, notamment Claude Julien et Dominique Ducharme, semblaient indiquer une certaine frustration.

Selon lui, son nouvel entraîneur, Rob Brind'Amour, avait compris son jeu d'une manière que ses prédécesseurs n'avaient jamais saisie.

Le Finlandais n'a pas hésité à pointer du doigt les médias de Montréal, les accusant d'être malveillants à son égard.

Ces critiques ont créé un climat de tension entre le joueur et la ville qui l'avait accueilli. Cependant, la roue tourne, et le karma semble avoir rattrapé Kotkaniemi.

Ses performances sur la glace ont considérablement décliné au cours des derniers matchs, avec seulement un maigre but et zéro passe à ses 18 dernières rencontres.

La récente série de contre-performances du joueur finlandais contraste fortement avec son début de saison prometteur. Soudainement, les justifications de Kotkaniemi ne concernent plus Montréal, et la réalité semble lui rappeler que les résultats sur la glace parlent plus fort que les paroles.

Il est important de souligner que le monde du hockey est exigeant, et les joueurs doivent constamment prouver leur valeur sur la patinoire.

Les critiques envers l'organisation et les entraîneurs ne peuvent pas remplacer des performances constantes et des résultats positifs.

Pour Kotkaniemi, cette période difficile peut être perçue comme un rappel que le karma dans le monde du sport peut être intransigeant.

Il faut dire que son modèle à Montréal était Joel Armia. On comprend un peu mieux pourquoi il déteste à ce point les médias de Montréal et surtout, pourquoi il se présente un match sur dix.

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