Joel Armia mérite tellement de se retrouver à Laval. 

Son renvoi dans la ligue américaine aurait dû se faire bien avant. Nous irions même plus loin. Joel Armia ne mérite plus de jouer dans la LNH. Il ne mérite plus de jouer un seul match de plus.

Quand tu a le privilège de jouer avec dans la meilleure ligue au monde, avec le chandail de la plus grande organisation de l'histoire du hockey, tu dois donner ton 100 pour cent. Tu dois absolument faire tout en ton pouvoir pour respecter le sport, les fans...ta propre personne...

Joel Armia a fait tout le contraire. Imaginez. Il s'est fait renvoyer à Laval après un camp tout simplement gênant. Il a eu la chance de se faire rappeler. Il aurait dû tout donner pour demeurer dans la LNH. Au lieu de ça, il s"est traîné les patins après avoir marqué un but lors de son premier match suite à son rappel. Oh qu'il était fier de son but. Ensuite, il n'a plus levé les patins et a décidé de se la couler douce comme s'il ne devait rien à ses coéquipiers...rien à son entraîneur-chef...rien à Geoff Molson qui le paye 4,8 M$ cette saison (3,4 M$ sur la masse salariale.)

Cela devient maintenant obligatoire. Joel Armia doit absolument se faire racheter l'été prochain. (dernière année à 3,4 M$ sur la masse salariale). Car non seulement il ne respecte pas les fans, les journalistes et ses coéquipiers, il ne respecte pas l'organisation du Canadien de Montréal dans son ensemble.

Traiter les journalistes québécois de tous les noms dans les médias finlandais l'été est une chose. Mais jouer de manière indigne  et paresseuse alors que tes coéquipiers donnent tout sur la glace, au point d'y laisser leur vie, est encore pire. 

On aimerait dire que Joel Armia a joué son dernier match dans la LNH. C'est tout ce qu'il mérite. Jamais au grand jamais avons-nous vu un joueur qui tournait les coins ronds comme l'attaquant finlandais. On parle toujours de culture dans le vestiaire du CH. Si la culture est aussi importante que Martin St-Louis le dit, alors Armia ne peut plus jamais mettre les pieds dans ce vestiaire. Un point, c'est tout....

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