Jonathan Huberdeau continue de s'enliser avec 4 maigres buts, 11 maigres passes et 15 maigres points en 31 matchs.

On dit souvent que le différentiel est une statistique qui ne veut rien dire, mais avec Huberdeau, ça veut tout dire. Son -14 reflète vraiment son jeu paresseux sur la glace.

Les Flames de Calgary se retrouvent actuellement dans une situation délicate avec leur joueur vedette. (ou plutôt leur "fausse vedette".

L'idée de le laisser de côté aurait été évoqué par les médias de Calgary, alimente les spéculations sur son rendement décevant sur la glace.

Huberdeau, dont le contrat s'étend sur encore 7 ans après cette saison, avec un un salaire ridicule de 10,5 millions de dollars par saison, ne semble plus capable de suivre le rythme de jeu.

Les critiques fusent quant à son poids sur la glace, mettant en lumière ses performances non-dignes de la LNH et son incapacité à répondre aux attentes placées en lui.

Le problème pour les Flames réside dans l'incapacité de racheter son contrat en raison de sa longueur et du salaire annuel. Cette option n'étant pas envisageable, l'équipe se trouve devant un dilemme majeur. Les dirigeants de l'équipe doivent maintenant explorer d'autres alternatives pour remédier à la situation.

Il y en a même qui proposent de dire à Huberdeau de rester à la maison. Le Québécois n'a tellement pas pris soin de son corps durant les deux derniers étés, il a tellement fait la fête sans s'entraîner, qu'il n'est plus physiquement capable de suivre la cadence de la LNH.

Voillà pourquoi l'idée de laisser Huberdeau à la maison commcence à circuler, mais inutile de vous dire que cette décision ne manquerait pas de soulever des protestations de la part de l'Association des joueurs.

Un tel geste pourrait déclencher une série de plaintes et de griefs, compliquant davantage une situation déjà épineuse pour les Flames.

Les Flames de Calgary se trouvent face à une situation impossib;e avec Jonathan Huberdeau. Les dirigeants de l'équipe devront faire preuve de "finesse" et d'ingéniosité pour trouver la meilleure solution possible, tenant compte des contraintes financières et des implications associées à une telle décision.

Une chose est certaine, la gestion de cette situation s'annonce cauchemardesque pour les Flames. Dire que celui qui a accordé ce contrat est maintenant DG des Maple Leafs de Toronto.

Brad Treliving devrait avoir honte. Il a laissé les Flames dans un désastre financier et sportif sans nom. Dire qu'on maudissait Bergevin pour les contrats accordés à Mike Hoffman (3 ans, 4,5 M$ par saison), Josh Anderson (5,5 M$ par année pour 7 ans) et Brendan Gallagher (6 ans et 6,5 M$ par année).

À côté de Huberdeau...c'est de la petite bière...

Finalement, Gilbert Delorme avait raison.

Jonathan Huberdeau s'est bel et bien promené en Ferrari pendant l'été à courir les évènements et les partys, à se bomber le torse, faire la fête et ne s'entraînant plus.

Delorme s'est fait accuser d'avoir manqué de respect à Huberdeau en le traitant de "FAT CAT", une expression pour décrire un joueur qui vient de signer un gros contrat et qui arrête de travailler.

Le Québécois avait même traité Delorme de menteur, affirmant qu'il n'avait jamais vu l'animateur de radio de l'été. Delorme avait juré qu'il avait vu Huberdeau à plusieurs reprises l'été dernier, en train de faire "son frais" et "flasher son argent".

Et bien, difficile de contredire Delorme aujourd"hui. Jonathan Huberdeau s'est assis sur son contrat...au point d'écraser son argent à jamais...

Il est irrécupérable. La seule solution serait qu'il se blesse gravement comme Carey Price et rejoigne la liste des blessés à long terme. De cette façon, son salaire ne serait plus comptabilisé sur la masse salariale.

Mais on ne peut tout simplement pas souhaite une blessure grave à un joueur. Nous allons donc prier pour que le Québécois perdu du poids, retrouve son envie d'aller au gym et sauve la face...et celle de son organisation.

Les chances sont minces...pour ne pas dire impossible. Passé la trentaie, si tu ne t'entraînes pas...tu es "faite"...

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