Joshua Roy, l'attaquant du Canadien de Montréal et du Rocket de Laval qui fait déjà rêver le Québec, est bien plus qu'un simple joueur de hockey.

En effet, sa réputation de "party boy" a circulé dès le début de l'année à Montréal, alors que Renaud Lavoie a affirmé que l'attaquant devait devenir plus mature à l'extérieur de la glace.

Martin McGuire avait enchaîné par la suite en affirmant que si Roy était rappelé dans la LNH, il deviendrait un flop à cause de ses activités hors-glace.

Au final, Roy a été rappelé et a prouvé qu'il pouvait très bien tenir la cadence de la LNH. Il a prouvé que tu peux aimer faire la fête à tes temps libres, mais être prêt à travailler lorsqu'il le faut.

Dans les cercles de Sherbrooke, où il a laissé son empreinte tant sur la glace que dans les bars animés de la ville, il a aussi prouvé qu'il était cette force de la nature capable de se coucher aux petites heures du matin et d'être en feu à la pratique ou au match du lendemain.

Connu pour sa propension à profiter de la vie nocturne, Roy n'a jamais nié son penchant pour les fêtes et les soirées animées.

Cependant, ce qui distingue véritablement Roy, c'est sa capacité à concilier sa vie sociale trépidante avec son engagement envers son sport.

À Sherbrooke, Roy est devenu une légende, aussi bien pour ses performances sur la patinoire que pour ses exploits dans les établissements nocturnes.

Les témoignages de ses anciens coéquipiers attestent de sa capacité à être une véritable "force de la nature" lorsqu'il s'agit de faire la fête, tout en étant prêt à s'entraîner ou à jouer un match le lendemain, comme s'il n'avait pas passé la nuit à danser et à socialiser.

Selon un ancien coéquipier qui a joué deux ans avec Roy à Sherbrooke, l'attaquant du CH est un "un gars qui n'est pas affecté par le manque de sommeil ou par l'alcool comsommé le lendemain. Josh (Joshua Roy) était toujours comme si de rien n'était le matin". 

Ce phénomène rappelle le cas d'Alex Radulov, autre joueur au talent incontesté et à la réputation de fêtard invétéré qui a fait la pluie et le beau tempa à Montréal.

Radulov se retrouvait au bar "Le Soubois" pratiquement tous les soirs l'année où il a joué à Montréal, mais n'a jamais laissé ses escapades nocturnes entraver ses performances sur la glace. (18 buts, 54 points en 76 matchs en 2016-2017).

De même, Roy incarne cette rare combinaison d'ardeur à faire la fête et de détermination à exceller dans son sport.

Dans les rues de Sherbrooke, Roy est plus qu'un joueur de hockey. Il est devenu un véritable Don Juan de la fête, attirant l'attention tant des barmans que des admiratrices.

Sa capacité à jongler entre les nuits agitées et les exigences du sport de haut niveau en ont fait une figure emblématique, à la fois adulée et respectée dans la ville universitaire bien reconnus pour ses partys arrosés.

En fin de compte, que ce soit sur la glace ou dans les bars, Joshua Roy démontre qu'il est véritablement une "bête de la nature".

Sa capacité à balancer son style de vie trépidant avec son engagement envers son sport en fait un exemple unique, rappelant que parfois, les légendes ne naissent pas seulement sur la glace, mais aussi dans les moments de célébration.

La prochaine fois qu'on entendra que Roy manque de maturité, il faudra se rappeler que peu importe ce qu'il fait dans la nuit, s'il est en feu au travail le lendemain, il n'y a rien à dire...

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