Juraj Slafkovsky, Arber Xhekaj et Michael Pezzetta font le party au 5 à 7 du Cathcart, au cœur de Montréal.
@bbyandyy Slaf spotted #habs ♬ Bandido Ana Barbara - Blankuchis
Un début de soirée animé s'est déroulé, réunissant les trois personnalités du CH. Ces jeunes hommes, habitués à la pression médiatique montréalaise, prennent du bon temps dans cette oasis de détente au sein de la métropole québécoise.
Au milieu de la foule joyeuse et des conversations animées, Juraj Slafkovsky se distingue par sa tranquillité naturelle.
Alors que certains pourraient être tentés de juger la présence d'un verre à la main, il incarne la sérénité, démontrant qu'un moment de détente entre amis est tout à fait légitime, même pour un prodige comme lui.
Avec son vodka soda et une touche de jus de citron, il savoure chaque gorgée avec une élégance discrète.
Arber Xhekaj et Michael Pezzetta, quant à eux, ajoutent leur énergie contagieuse à l'ambiance festive. Leurs rires résonnent dans l'espace animé du Cathcart, tandis qu'ils semblent de bonne humeur.
Pour eux, ce 5 à 7 est un moment de relâche bien mérité, loin des rigueurs de l'entraînement et des matchs...et des questions des journalistes.
Si Cole Caufield avait été présent, sa réputation aurait été mise en cause à la simple vue d'un verre à la main. Mais pour Slafkovsky, l'accueil est différent. Son attitude posée et son charisme tranquille transforment un geste banal en une touche de charme.
Cole Caufield doit être peu jaloux de la manière dont Slafkovsky fait face à cette soirée. Car tandis que certains aurait accusé Caufield de débauche ambulante s'il avait été vu avec un verre à la main, d'autres reconnaissent simplement le plaisir innocent de Slafkovsky profitant d'un moment de détente bien mérité.
Lorsque Tremblay avait créé une tempête médiatique en clamant que Caufield avait vu au restaurant "Marcus" de l'hôtel "Four seasons" en train de tituber tellement il était chaud, il n'y avait pourtant aucune photo, ni vidéo. Caufield pourra toujours se défendre qu'il n'y a pas de preuves. Même si on croit Tremblay sur parole.
"Je voudrais juste souligner qu’il serait peut-être temps que le vrai boss du Canadien lâche un coup de téléphone à Serge Savard. Le Sénateur pourrait peut-être lui donner quelques conseils sur l’art de contrôler les bars les plus populaires de la ville. Y aura toujours des incartades mais pourquoi ne pas être prévenant ?" (crédit: BPM Sports)
"Par exemple, jeudi soir en fin de soirée au Marcus, Cole Caufield avait de toute évidence, avalé beaucoup trop de sirop pour la toux. Pauvre garçon, il était tout étourdi."
Si Caufield veut continuer de boire lorsqu'il sort, qu'il prend exemple sur Slafkovsky. Ce dernier n'était pas en train de tituber. Il faut dire que les deux n'ont pas le même gabarit. Disons que Caufield doit être éméché beaucoup plus rapidement que "Slaf".
Ainsi va la vie...