- Michel Bergeron en FURIE contre Kent Hughes....

- OUCH!!!!

- Après que le TIGRE ait crié sous tous les toits qu'il n'en revient pas à quel point le DG du CH n'a aucune pression sur les épaules..

Kent n’a pas reçu beaucoup de questions embarrassantes après la date limite des transactions, n’est-ce pas? Ce fut très tranquille! D’après moi, quand Kent Hughes parle avec ses amis, il leur dit qu’il n’a aucune pression à Montréal. L’an passé on termine au dernier rang, puis on se dirige vers une autre position de bas de classement cette année et personne ne dit rien. Je n’en reviens pas! C'est grave!»

Après que BERGY ait affirmé que Martin St-Louis qu'on devait commencer à critiquer le travail de St-Louis qui accumule les défaites sans bon sens...

Kent Hughes, interrogé par les médias québécois à la rencontre des DG en Floride, a RIDICULISÉ Bergeron...

- En se disant FIER de son équipe...et FIER de Martin St-Louis..

«Je suis fier de l'équipe, je suis fier des entraîneurs et des joueurs, ils ne lâchent pas".

«Au début de l'année, quelqu'un m'avait demandé ce serait quoi une saison de succès et j'avais dit que si on voyait un développement individuel de nos joueurs, mais aussi de notre équipe [ce serait un succès] et je pense qu'on le voit."

«Ce ne sont pas juste les jeunes qui deviennent de meilleurs joueurs, il y a des vétérans qui continuent d'avancer dans leur jeu. Et je crois que nos entraîneurs ont appris beaucoup, ils ont de l'expérience comme joueurs, mais sont jeunes comme entraîneurs, donc c'est l'fun de voir que tout le monde avance ensemble.»

«Martin est capable de gérer des individus ainsi que l'équipe. J'ai dit au départ que ça prend une certaine intelligence émotionnelle pour être un bon entraîneur dans la Ligue nationale ces jours-ci et on le voit de Martin et de tous les adjoints."

«J'avais parlé de Martin avec Vincent Lecavalier [avant son embauche] et il m'avait dit : "Quand tu repêches un joueur, tu le repêches pour son potentiel. Si tu me demandes qui a le potentiel pour être un des meilleurs entraîneurs, c'est Martin".»

- Wow..

- Hughes pousse vraiment L'INSULTE à L'INJURE.

- Michel Bergeron va sauter une COCHE en entendant le DG.

- Il faut dire que BERGY nous avait prévenu..

- Voici ce que l'ancien coach des Nordiques et des Rangers écrivait le 11 février denrier.

La direction du Canadien a demandé aux partisans d’être patients, mais il ne faudrait pas que ça s’éternise et que les joueurs s’habituent à la défaite. On ne veut pas d’un country club à Montréal !

Pour l’instant, il ne semble pas y avoir de date butoir. La victoire n’est pas un objectif à tout prix. On gagne du temps. Les amateurs sont à l’écoute, les détenteurs d’abonnements de saison comprennent la situation.

C’est le premier anniversaire de Martin St-Louis derrière le banc du Tricolore. Son arrivée, comme celles de Jeff Gorton et de Kent Hughes avant lui, en a surpris plus d’un, surtout que St-Louis et Hughes n’avaient aucune expérience en tant qu’entraîneur et directeur général dans la LNH.

Martin est bien aimé et admiré du public et des supporteurs du CH. Les journalistes ne lui posent pas de questions embarrassantes et Martin affirme qu’il apprend sur le tas. Clause non écrite Quand je pense à mon expérience comme entraîneur et à celle d’autres instructeurs, la victoire était la clé de notre survie.

On avait une clause non écrite dans notre contrat qui stipulait qu’on devait gagner. Lorsque les Nordiques m’ont embauché, on m’a donné le mandat de ramener le club en séries. Il y avait donc beaucoup de pression, ce qu’on ne voit pas présentement à Montréal. Pour une rare fois dans l’histoire des Glorieux, ce n’est pas grave si l’équipe perd. Comme une école de hockey Parfois, on a l’impression que St-Louis dirige sa formation comme une école de hockey. Il développe les jeunes et prend le temps de leur parler sur la patinoire lors des entraînements.

C’est bien beau, mais il faudrait bientôt passer à l’étape suivante, celle de la victoire. Deux saisons dans les bas-fonds du classement, c’est assez. Souvent, on dit que le Canadien de Montréal est au hockey ce que les Yankees de New York sont au baseball. Mais les Yankees n’ont pas connu autant de saisons décevantes.

À Montréal, les partisans se présentent encore en grand nombre au Centre Bell. J’ai toutefois connu les années durant lesquelles les Blackhawks n’accueillaient que 5000 spectateurs. Il ne faudrait pas en arriver là.

- Michel Bergeron est un DEVIN...

- Il l'a CALLÉ sur toute la ligne.

- Le Canadien de Montréal est bel et bien devenu un COUNTRY CLUB..

- Les journalistes se sont couchés...et le trio Gorton-Hughes-St-Louis les MANIPULE comme de pauvres marionnettes.. 

- Ridicule....

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