Dans les cercles bien informés du hockey, il y a une discussion qui monte en puissance, une conversation qui dépasse les limites de la patinoire pour toucher à la vie personnelle d'une star du sport.

Il est question de Leon Draisaitl, le talentueux joueur des Oilers d'Edmonton, et de blonde, la magnétique Celeste Desjardins.

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7 years ❤️

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Tout commence avec Celeste, une beauté pure originaire de Sudbury, imprégnée de la culture franco-ontarienne qui caractérise cette région.

Elle incarne l'équilibre parfait entre la chaleur de l'Ontario et l'élégance française. Sur les réseaux sociaux, en particulier sur TikTok, elle distille des nuances de charme français, elle qui semble en amour avec Paris.

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Last night in paris ✨

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De quoi nous faire dire qu'elle apprécie la culture française.

Mais au-delà de ses vidéos et de ses photos éclatantes, Celeste porte une affection particulière pour la France et tout ce qui s'y rapporte.

Peut-être est-ce l'influence des nombreux Franco-Ontariens de sa ville natale ou simplement son amour inné pour l'art, la mode et la gastronomie française.

Quoi qu'il en soit, elle respire la passion pour cette culture, au point où l'on pourrait croire qu'elle a grandi au cœur de Paris plutôt qu'à Sudbury.

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Et c'est là que les choses deviennent intéressantes pour le monde du hockey. Alors que les spéculations sur l'avenir de Draisaitl dans la LNH se multiplient, une possibilité émerge : Montréal.

Oui, la ville où la culture française est à son apogée, où les rues résonnent de musique, d'art et de mode. Une ville qui, bien que ne portant pas le titre de capitale de la mode, n'en est pas moins un foyer d'opportunités pour les acteurs et mannequins, un lieu où la créativité s'épanouit.

@celestedesjardins1♬ original sound - DJ Playboi Pocky

Si Georges Laraque envoie Draisaitl vers Boston, lui qui a énormément de contacts chez les Oilers, Montréal resterait une option à ne pas négliger.

Car qui sait mieux que Celeste Desjardins combien cette ville peut être enchanteresse? Entre ses rues pavées, ses cafés animés et sa scène artistique vibrante, Montréal pourrait bien être le lieu où elle se sentirait véritablement chez elle.

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Et si cela signifie que Draisaitl pourrait trouver une nouvelle maison sur la glace et en dehors, alors peut-être que le destin réserve à ce couple une aventure québécoise des plus excitantes.

Après tout, dans le monde du hockey comme dans la vie, parfois, les meilleurs matchs se jouent en dehors de la patinoire. Surtout avec une beauté comme Céleste Desjardins.

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Mais Laraque a raison. Draisaitl est tanné de jouer dans l'ombre de Connor McDavid, alimentée par les frustrations et les désirs qui bouillonnent de devenir le centre numéro un d'une équipe.

Leon Draisaitl, l'un des meilleurs attaquants au monde, semble porter un fardeau trop lourd pour ses épaules, et cette charge commence à peser sur son moral: le fait de devoir toujours jouer dans l'ombre du Dieu McDavid.

Son mécontentement transpire à travers chaque interaction avec les médias, chaque réponse teintée de cynisme et de lassitude, même quand son équipe gagne en séries.

Quand un journaliste ose poser une question qui l'énerve, Draisaitl ne mâche pas ses mots, exprimant son exaspération avec une franchise brutale qui laisse peu de place à l'ambiguïté.

Il y a une autre source de tension, plus profonde et plus personnelle. Les murmures dans les couloirs d'Edmonton suggèrent que Draisaitl est fatigué de vivre dans l'ombre de Connor McDavid, constamment relégué au second plan malgré son immense talent.

Le désir de briller en tant que numéro un, de porter l'équipe sur ses épaules, semble de plus en plus irrésistible.

Et c'est là que Montréal entre en jeu, une destination qui, pour Draisaitl, offre bien plus que des opportunités sportives.

Sa compagne, Celeste Desjardins, vibre assurément à l'idée de voir son amoureux revêtir le chandail du Canadien de Montréal.

On le répète: Originaire de Sudbury, elle connaît les charmes de la culture franco-ontarienne, mais elle est également attirée par l'éclat et le dynamisme de la métropole québécoise.

Montréal représente bien plus qu'une simple équipe de hockey pour Draisaitl. C'est une chance de devenir le centre numéro un, alors qu'il est clair que Nick Suzuki l'accepterait.

Et avec la saison 2025-2026 qui s'annonce comme une année prometteuse pour le Canadien, alors que l'équipe devrait être prétendante, l'attrait de la victoire et du succès ne fait que renforcer son désir possible de rejoindre les rangs du CH.

L'espoir grandit dans le cœur des partisans, nourri par les rumeurs persistantes et les signes prometteurs. Si Kent Hughes décide de faire de Draisaitl sa priorité, alors Montréal pourrait bien devenir le théâtre d'un nouveau chapitre glorieux de l'histoire du hockey.

Boston serait favori. Mais pour que Montréal ait une chance, il faut espérer que la douce de Draisaitl arrive à le convaincre.

Tous les regards se tournent vers Celeste Desjardins, cette beauté rare, mais influente, qui pourrait bien être la clé de cette histoire.

Car au hockey comme en amour, parfois, c'est le cœur qui dicte le destin. Et avec Celeste Desjardins comme guide, les étoiles pourraient bien s'aligner pour que Leon Draisaitl trouve enfin sa place sous les projecteurs de Montréal.

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