Depuis le départ de Pierre-Luc Dubois des Jets de Winnipeg, l'équipe a connu une métamorphose spectaculaire. Les Jets ont récemment signé une cinquième victoire consécutive, les propulsant au sommet du classement de la LNH après avoir vaincu les Ducks au compte de 3-1 à Anaheim.

Cette série de succès s'ajoute à une impressionnante séquence de 11 matchs consécutifs avec au moins un point, établissant un nouveau record de franchise la veille face aux Sharks de San Jose.

Le départ de Dubois vers les Kings de Los Angeles en échange de Iafallo, Vilardi, Kupari et un choix de deuxième ronde en 2024 semble être devenu un tournant positif pour les Jets.

Cependant, il ne faut pas ignorer la controverse qui a entouré le départ de l'attaquant québécois.

Les critiques fusent à l'égard de Pierre-Luc Dubois, qualifié de "bébé gâté" dont la présence aurait nui à l'atmosphère de l'équipe.

À seulement 25 ans, Dubois est déjà perçu comme une diva exigeant des conditions spéciales pour son utilisation sur la glace.

Ses 16 points en 35 parties avec les Kings, combinés au fait qu'il n'évolue même pas sur la première unité, soulèvent des doutes quant à la justesse de son contrat luxueux signé l'été dernier, d'une valeur de 68 millions pour 8 ans.

Le poids financier et l'impact négatif sur le vestiaire alimentent la perception selon laquelle Pierre-Luc Dubois pourrait être l'un des pires contrats dans la LNH.

Jérémie Roenick, ancien joueur de la NHL, avait anticipé ces problèmes en déclarant que Dubois agissait comme un "grand bébé" depuis son entrée dans la ligue.

Les mois qui ont suivi semblent lui donner raison.

Aujourd'hui, Dubois est considéré comme l'un des joueurs les plus toxiques de la ligue, ayant laissé derrière lui une réputation controversée.

Les Jets, quant à eux, semblent s'épanouir sans la présence de cette "diva" au sein de leur effectif, consolidant ainsi la thèse selon laquelle le départ de Dubois a été une décision nécessaire pour le bien-être de l'équipe.

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