Pendant que Nick Suzuki s'enlise...

Pendant que Cole Caufield ne semble pas avoir la même chimie que d'habitude avec son capitaine.

Kent Hughes dort au gaz. Ça va prendre quoi pour que le DG comprenne que Josh Anderson ou Rafaël Harvey-Pinard n'est pas l'ailier qu'il faut à Suzuki et Caufield.

L'ailier qu'il faut pour compléter le 1er trio est nul autre que Joshua Roy. L'un des meilleurs joueurs de la ligue américaine attend à Laval qu'on le rappelle.

Il deviendrait automatiquement l'un des meilleurs attaquants du CH. Le fait qu'il soit toujours à Laval est ridicule. Il est clair que le Québécois regarde le match ce soir et il doit se demander pourquoi il n'est pas sur la glace au lieu d'être dans son salon.

Anderson est tout simplement déficient au niveau de son "HOCKEY IQ". Rafaël Harvey-Pinard n'est pas plus qu'un plombier de 4e trio qui n'est pas capable de marquer dans un filet désert. C'est écrit dans le ciel que Joshua Roy est le VRAI AILIER qui doit compléter Suzuki et Caufield.

On entend des "FIRE BURROWS" au Centre Bell

Ce qui devrait arriver arriva. Avec un autre match horrible en avantage numérique, on a entendu des "FIRE BURROWS" dans le dernier balcon du Centre Bell.

Ne vous trompez pas. Même si le bijou individuel de Mike Matheson a été marqué en avantage numérique, ce n'est aucunement un but relié à la stratégie de Burrows. 

Les Montréalais sont tannés. Les Québécois sont tannés. Toute la province est tannée. Nous ne sommes plus capables d'avoir un incompétent de dernière classe qui s'occupe de l'avantage numérique.

C'est supposé être l'une des facettes les plus excitantes du hockey en général. À Montréal, c'est synonyme d'échec et de frustrations.

Ce soir, c'était juste les blancs, les gris et les bleus qui ont scandé "FIRE BURROWS"

Bientôt, ce sera le Centre Bell au complet...

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