Il est temps de faire notre mea culpa concernant Joshua Roy.
Nous avons reçu un message en privé de la personne la plus proche possible du jeune joueur, un ami et colocataire avec qui il a habité cet été avant le camp d’entraînement.
Cette source fiable et directe nous a fourni des détails qui démontrent que les critiques sur le comportement hors-glace de Roy sont non seulement injustifiées, mais totalement dépassées.
Il faut reconnaître nos erreurs et remettre les pendules à l'heure : Joshua Roy est plus sérieux que jamais et mérite qu'on lui donne crédit pour ses efforts.
Selon cette source, Roy a changé son mode de vie depuis des mois, bien avant le début du camp. Contrairement aux rumeurs qui circulaient, il n’habite plus la maison d’Alexis Lafrenière depuis plus de six mois.
Non seulement a-t-il quitté cette résidence, mais il a aussi tourné la page sur les soirées festives et les sorties nocturnes.
"Le gars n'est pas sorti au bar depuis plusieurs mois", nous a assuré son colocataire. La réalité est que Roy a compris l’importance de ce camp pour sa carrière, et il s’est préparé avec un sérieux exemplaire.
Il a suivi un régime strict, pesant sa nourriture, se couchant tôt, et mesurant méticuleusement son pourcentage de gras.
Tout cela démontre un engagement réel, bien loin des critiques faciles et des rumeurs dépassées qui ne sont plus d'actualité aujourd'hui.
Des chroniqueurs comme Renaud Lavoie et Martin McGuire ont critiqué le comportement hors-glace de Roy, mais ce dernier a vraiment changé son mode de vie dans les derniers mois.
Certes, Roy a eu ses moments de dérapage par le passé, mais il a pris les choses en main depuis le printemps, déterminé à ne plus laisser ses habitudes hors glace compromettre son avenir.
Selon notre source, qui l’a côtoyé quotidiennement tout l’été, ce changement de cap est évident :
"Je l’ai vu mettre les efforts comme jamais cet été, et là, il se fait ramasser pour des histoires de l’an passé."
Ces propos résonnent comme un rappel brutal que les faits doivent primer sur les rumeurs, et que nous avons la responsabilité de présenter l’histoire complète et actuelle.
Il est également important de reconnaître que la situation de Roy a changé après qu'il se soit fracturé la main il y a plus de huit mois.
Cette blessure a servi de déclencheur pour revoir ses priorités et adopter un mode de vie plus sain et discipliné.
Pour ceux qui persistent à évoquer ses erreurs passées, Hockey30 compris, il est temps de tourner la page. Roy a fait les ajustements nécessaires et mérite qu’on le juge sur ses efforts récents, pas sur des événements qui n’ont plus lieu d’être cités.
Nous nous devons de rectifier le tir et de reconnaître notre part de responsabilité dans cette histoire. Le texte précédent laissait entendre que Roy n’avait pas réglé ses problèmes hors glace était une erreur.
En réalité, il a mis les bouchées doubles pour arriver prêt à ce camp, et ses efforts méritent d'être soulignés plutôt que minimisés.
Il n’est jamais trop tard pour corriger le tir, et cette fois, nous croyons notre source sur parole : Joshua Roy est prêt, déterminé et a fait les changements nécessaires pour réussir et se faire rappeler le plus vite possible.
À nous maintenant de lui accorder le crédit qui lui revient et de le juger sur ses efforts actuels, et non sur un passé qui n'est plus d'actualité.
Depuis son retour à Laval, Joshua Roy n'a rien laissé paraître de la déception qui l'a frappé lorsqu'il a appris qu'il débuterait la saison dans la Ligue américaine.
Dès son arrivée, l'entraîneur-chef du Rocket, Pascal Vincent, a rencontré le jeune espoir et a rapidement constaté une attitude exemplaire chez lui.
"Joshua a une excellente attitude. C’est un jeune joueur qui commence sa carrière professionnelle. Il possède les habiletés et le talent. Il faut juste s’assurer qu’il continue à grandir et progresser", a assuré Vincent.
Malgré la déception, Roy est resté réceptif et positif, déterminé à montrer qu'il a sa place dans la LNH.
La vérité, c’est que Roy aurait dû être à Montréal. Il a prouvé la saison dernière qu'il avait le potentiel pour contribuer au sein de l'équipe première.
Son renvoi à Laval est difficile à justifier, surtout lorsqu'on considère les efforts qu'il a déployés pour arriver au camp dans une forme optimale.
À seulement 21 ans, il est plus prêt que jamais à jouer un rôle significatif dans la grande ligue.
Pascal Vincent l’a bien dit :
"Il doit jouer."
"C’est très important, surtout pour les joueurs offensifs, car ils doivent avoir une grande confiance pour devenir productifs»
Pour un joueur offensif comme Roy, la confiance est essentielle, et le fait de jouer avec Christian Dvorak et Josh Anderson est clairement un facteur qui a affecté son camp d'entraînement,
Son retour à Laval n’est qu’une étape temporaire. Il est évident que l’attaquant a le talent et la mentalité pour évoluer avec le Canadien, et ses performances à Laval ne feront que confirmer qu'il mérite sa place à Montréal.
«Ils sont toujours déçus, car leur objectif est de jouer dans la LNH. Mais Joshua a une excellente attitude. C’est un jeune joueur."
"Il commence sa carrière professionnelle. Il possède les habiletés et le talent. Il faut juste s’assurer qu’il continue à grandir et progresser» a rajouté Vincent.
Son attitude à Laval rejoint les infos de son colocataire, et il continue de travailler avec acharnement pour prouver qu’il est prêt à faire le saut de façon définitive.
Roy aurait dû entamer la saison avec le grand club, et il finira par forcer la main de l'organisation.
Dans tous les cas, on va le laisser tranquille pour le hors-glace. Notre source est béton.