Le nom de Marc Bergevin commence à faire le tour des discussions à Edmonton. Avec les Oilers risquant de se faire éliminer par les Canucks, la pression monte sur le directeur général Ken Holland.
Holland, qui avait exprimé sa confiance envers son gardien Stuart Skinner, voit celui-ci chanceler de manière lamentable, plongeant ainsi Edmonton dans une position délicate.
Les Oilers semblent également manquer de férocité devant leur gardien, ajoutant à leurs problèmes.
C'est là que Marc Bergevin entre en jeu. Connu pour sa capacité à construire des équipes robustes, il a toujours privilégié une défense solide et un gardien capable de voler des matchs, voire des séries.
Son expérience en tant que directeur général à Montréal lui a permis de faire ses preuves dans la construction d'équipes compétitives et surtout, dans une marché où la pression est au top.
Alors que son nom circulait déjà activement pour remplacer Rob Blake à Los Angeles, où il occupe actuellement le poste d'adjoint, l'opportunité à Edmonton semble se dessiner.
Comme Blake n'a pas été congédié, Bergevin pourrait saisir cette deuxième chance de devenir le DG des deux meilleurs joueurs de la planète.
Sa réputation de bâtisseur d'équipes solides, combinée à son expérience dans la gestion des défenses et des gardiens, en fait un candidat attrayant pour les Oilers.
Si Edmonton cherche à rectifier le tir après une déception en séries, le nom de Marc Bergevin pourrait bien devenir la solution tant attendue.
Mais attention. Cette série est loin d'être terminée. Reste que la seule façon pour Holland de garder son poste est pratiquement de gagner la Coupe Stanley.
Et avec les critiques qui circulent à Edmonton en ce moment, comme quoi cette équipe est "trop soft" avec un gardien digne de la ligue américaine, voire de la "East Coat League", le nom de Bergevin fera assurément partie des candidats.
Le premier mandat du futur DG ser de convaincre Connor McDavid et Leon Draisaitl de rester. Si Bergevin est nommé, en sera-t-il capable?
On espère sort moins qu'avant et qu'il est moins un "party boy". Car à Edmonton, il n'y a absolument rien à faire...