L'atmosphère dans le vestiaire du Canadien de Montréal est de plus en plus tendue après la décision de l'entraîneur-chef Martin St-Louis de laisser Brendan Gallagher sur le banc en fin de match.

Gallagher, connu pour son style de jeu énergique et parfois impulsif, a écopé de pénalités coûteuses en fin de match qui ont coûté cher à l'équipe au fil de la saison.

La décision de St-Louis de punir Gallagher en le laissant sur le banc a déclenché la colère du joueur. Des sources internes ont rapporté que Gallagher était en furie dans le vestiaire, exprimant sa frustration envers l'entraîneur-chef et remettant en question cette décision humiliante.

L'absence de Gallagher devant les journalistes après le match était très inhabituelle. Le vétéran, habitué à affronter les médias dans les bons moments comme dans les mauvais, a laissé un vide évident aux yeux des journalistes.

Gallagher, connu pour son leadership sur la glace et son engagement envers l'équipe, n'a pas l'habitude de se cacher face aux médias, même dans les moments difficiles.

Sa non-présence a alimenté les spéculations et a ajouté une couche de mystère à la situation déjà tendue entre le joueur et l'organisation du Canadien de Montréal.

Cette tension croissante soulève des questions sur l'avenir de Gallagher au sein de l'équipe. Des rumeurs circulent déjà sur la possibilité d'un rachat de son contrat à l'été 2024, une décision qui serait lourde de conséquences tant sur le plan sportif, sur le plan comptable de la masse salariale que sur le plan émotionnel pour les partisans du Canadien.

Le vétéran commence à ressentir que sa place au sein de l'équipe est de plus en plus incertaine, ce qui ajoute un élément d'instabilité et émotionnel dans sa tête.

Plus Gallagher se sentira à l'écart, plus sa relation avec le personnel d'entraîneurs pourrait se détériorer.

Dans cette optique, le rachat de contrat de Gally devient inévitable. Reste à voir si ce sera en 2024 ou 2025.

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