Malaise à l'entraînement du CH.

Depuis le début de la saison, une atmosphère de honte et de pitié plane autour de Josh Anderson

Les journalistes ne mâchent pas leurs mots, mettant la pression sur l'entraîneur-chef Martin St-Louis pour qu'il prenne enfin la décision d'envoyer Josh Anderson dans les gradins.

Les performances décevantes de Josh Anderson qui, malgré un statut de joueur clé, n'a toujours pas réussi à marquer un "vrai" but cette saison doivent être sanctionnés.

Les attentes étaient élevées pour Anderson, au point que Kent Hughes a refusé plusieurs transactions impliquant un choix de 1ère ronde, un espoir de premier plan et un joueur établi pour son attaquant de puissance.

Cependant, jusqu'à présent, le rendement de l'attaquant est honteux. La décision de St-Louis de maintenir Anderson dans la formation de départ est ridicule. 

 

 

Dans n'importe quelle autre équipe de la ligue, un joueur qui n'a pas réussi à inscrire un seul but alors qu'il y a un gardien devant le filet  aurait perdu sa place depuis longtemps.

Cependant, le Canadien de Montréal semble être une exception à cette règle, alimentant les critiques sur ce que certains décrivent comme un "country club" où la méritocratie est un concept qui n'existe pas.

Le dilemme auquel est confronté Martin St-Louis est complexe. D'un côté, sa loyauté envers Anderson. D'un autre côté, la pression croissante des médias et des fans pour que l'attaquant aille dans les gradins.

La situation devient d'autant plus délicate que le Canadien de Montréal traverse déjà une période difficile sur le plan offensif. 

Alors que les discussions autour du sort de Josh Anderson s'intensifient, la gestion de l'entraîneur-chef devient un sujet de débat au sein de la communauté sportive montréalaise.

Certains soutiennent que St-Louis devrait prendre des décisions plus radicales pour stimuler l'équipe, tandis que d'autres plaident en faveur de la patience et de la confiance envers Anderson pour qu'il surmonte cette léthargie historique.

La méritocratie, ou plutôt son absence, demeure un sujet de discussion brûlant, jetant une lumière crue sur la philosophie erronée de St-Louis.

Mais le coach veut vivre et mourir avec Anderson.

 

 

Sans commentaire...

Votre Voix