Malaise entre TVA Sports et Brendan Gallagher

Malaise entre TVA Sports et Brendan Gallagher

Par David Garel le 2024-02-20

La tension était évidente lors de l'entrevue entre Brendan Gallagher et le journaliste de TVA Sports, Anthony Martineau.

La question portait sur les déboires de son coéquipier Josh Anderson, mais Gallagher, habituellement si volubile, semblait être vraiment mal à l'aise, lui qui est aussi pris dans une léthargie embarrassante.

Lorsque Martineau a abordé le sujet délicat des performances en dents de scie de Josh Anderson, Gallagher a semblé mal à l'aise, comme s'il était sur la défensive, comme s'il sentait que le journaliste le visait.

Sa réponse était évasive, ses mots étaient choisis avec précaution, et il semblait chercher désespérément une issue à cette situation délicate.

Dans un moment qui a accentué le malaise, Gallagher a tenté de justifier les ennuis d'Anderson en affirmant que dans le hockey, ce qui compte n'est pas seulement les points, mais aussi le comportement sur la glace. Avancez la vidéo à 0:58:

Il a souligné que l'utilité d'un joueur ne se mesure pas uniquement par ses statistiques, mais aussi par sa contribution globale à l'équipe.

Malaisant à souhait. Cette tentative de détourner l'attention des difficultés évidentes d'Anderson semblait maladroite et quelque peu désespérée. Même le journaliste Martineau a semblé gêné face à cette réponse évasive.

Il est difficile de ne pas ressentir de la compassion pour Gallagher, un vétéran qui a souvent été un exemple de leadership et de détermination sur la glace.

Mais cette fois, il semble être un athlète fini à la corde, cherchant désespérément à se trouver une utilité dans une situation inconfortable.

Cette entrevue montre bien les défis auxquels sont confrontés les joueurs professionnels lorsqu'ils sont confrontés à des questions difficiles sur leurs performances et celles de leurs coéquipiers, surtout quand tu es le joueur le plus SURPAYÉ de la LNH.

Pour Gallagher, c'était un moment de malaise dont il se serait bien passé. Même Martin St-Louis n'a plus les mots pour protéger ses vétérans nuisibles.

À go, on regarde par terre: 1,2, 3....misère....