Sur les ondes de BPM Sports, Martin Lemay a tout simplement été cinglant.

Avec toute sa finesse verbale pour dépeindre un tableau saisissant de la performance honteuse de Pierre-Luc Dubois, Lemay l'a humilié sur la place publique sans retenue.

@bpmsportsradio Martin n’a pas mâché ses mots envers Pierre-Luc Dubois dans Le Retour des sportifs. 😶 #nhl #lnh #fyp #foryou #hockey #hockeytiktoks #lakings #pierrelucdubois ♬ son original - BPMSPORTSRADIO

Avec une maîtrise admirable, Lemay a pris soin de peser chacun de ses mots, évitant de sombrer dans les insultes, mais transmettant néanmoins un message d'une clarté tranchante.

Il a laissé planer un silence chargé de sens avant de commencer à décortiquer la situation. Ses propos étaient comme des coups de couteau précis dans le vif du sujet, révélant la déception et l'indignation suscitées par l'attitude et la nonchalance de Dubois.

Lemay a souligné avec une justesse implacable la déception, voire la colère ressentie devant un joueur qui semblait ne ressentir responsabilité envers son équipe.

Pour Lemay, il est évident que Dubois a abandonné ses coéquipiers, a abandonné non seulement sa propre personne, mais également celle de ceux qui comptaient sur lui. Incluant son DG Rob Blake qui lui a refilé 8,5 M$ par annés étalés sur 8 ans.

Les mots de Martin Lemay sont cinglants et en plein dans le mille. La déception et l'amertume suscitées par l'attitude de Pierre-Luc Dubois est vraiment choquant.

On pare d'un comportement inadmissible de la part de Dubois, d'un joueur qui a trahi la confiance de tous ceux qui lui ont fait confiance.

On pourrait le traiter de lâche, de poison, de sans coeur, d'un gars égocentrique, d'un gars qui ne pense qu'à l'argent.

Au final, il est simplement un homme qui est en train de gâcher son héritage...et sa carrière sportive au grand complet.

Il n'a pas patiné, il n'a pas frappé, il ne s'est pas forcé, il n'a pas sué, il n'a absolument rien fait. On se demande comment Dubois se regarde dans le miroir aujourd'hui.

Parions qu'il regarde plutôt son portefeuille. Il pense déjà à aller faire la fête au Grand Prix de Montréal en juin. Et d'asseoir encore plus confortablement sur son juteux contrat.

Une véritable honte...dans tous les sens du terme...

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