La catastrophe a été évitée.

Le CH menait 4-0 et s'est pratiquement fait remonter en 3e période. À 4-3...tout le monde avait chaud au Centre Bell

Celui qui avait le plus chaud était Martin St-Louis. À chaque fois que la caméra le montrait, le coach était tout nerveux.. Le stress, palpable, son regard qui scrute fébrilement le tableau indicateur, ses yeux captant chaque seconde comme si le temps s'écoulait plus lentement que jamais.

Telle une horloge angoissée, St-Louis compte chaque instant, son visage marqué par l'inquiétude. On peut presque sentir la pression qui pèse sur ses épaules, sa responsabilité en tant que guide de son équipe.

Chaque coup d'œil furtif vers le tableau indicateur est empreint d'une urgence poignante, comme s'il cherchait à maîtriser le temps pour l'accélérer avant que les Islanders ne lui fasse vivre la honte d'être remonté 0-4 en une période.

Son équipe, miroir de ses émotions, évolue sur la glace elle aussi avec une fébrilité palpable. Comme si les joueurs de Martin St-Louis empruntent le rythme cardiaque accéléré de leur entraîneur. 

Toute la 3e période. Martin St-Louis a retenu son souffle, comme s'il respirait l'incertitude qui flottait dans l'air. St-Louis, en dépit de son passé légendaire de joueur, est humain derrièr ele banc.. ble de l'incertitude sportive.

Le tableau indicateur devient le point focal de son l'attention en 3e période, alors qu'il devrait se concentrer à "coacher" St-Louis devra apprendre à être moins nerveux lors du dernier engagement. Car son équipe est son éponge. Et le stress mouille tout le monde...

Retenons le positif. Grosse victoire lors du dernier match à domicile de la saison.

2 VRAIS buts pour Josh Anderson.

Un 8e but pour Cole Caufield. (chaque but vaut maintenant moins qu'un millio de dollars).

Grosse victoire...gros stress inutile...St-Louis doit retenir la leçon...

Entraîner et non tomber dans la nervosité. Même les plus grands apprennent à chaque jour...

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