Dans le monde du hockey, les décisions des dirigeants et des entraîneurs peuvent avoir un impact significatif sur la performance des joueurs et l'avenir de l'équipe.

Récemment, une situation intrigante s'est déroulée au sein du Canadien de Montréal, mettant en lumière une divergence d'opinions entre Martin St-Louis et le duo formé de Kent Hughes et Jeff Gorton.

Alors que Kent Hughes et Jeff Gorton envisageaient de renvoyer Juraj Slafkovsky à Laval, St-Louis a pris une position ferme pour que le jeune Slovaque reste à Montréal.

St-Louis voulait-il remettre en question la confiance envers Houle et ses méthodes d'enseignement?

Dans tous les cas, St-Louis n'était pas d'accord avec ses patrons et pensait avoir la meilleure approche pour développer le potentiel de "Slaf".

Alors que Hughes et Gorton penchaient pour un retour à Laval, St-Louis s'est opposé à cette décision et il y a lieu de se demander s'il craignait que Jean-François Houle n'ait pas la bonne approche pour guider le jeune talent.

Il est clair que Martin St-Louis doutait de Jean-François Houle dans sa capacité à encadrer Slafkovsky de manière adéquate. 

St-Louis ne voulait sûrement pas que Slafkovsky soit exposé à des méthodes d'enseignement qu'il jugeait inappropriées ou contre-productives.

Il estimait que la meilleure chance de Slafkovsky de se développerr était de rester à Montréal, sous sa propre tutelle et celle du personnel d'entraîneurs du CH et non de l'équipe de Jean-François Houle qui s'enlise à Laval.

Avec le recul, la décision de Martin St-Louis de s'opposer au renvoi de Slafkovsky à Laval semble avoir été la bonne. Le Slovaque a connu une montée en puissance impressionnante depuis cette période. Ses performances sur la glace ont dépassé les attentes, et il semble jouer le meilleur hockey de sa jeune carrière.

La confiance de St-Louis en ses propres capacités d'enseignant  été récompensée. Slafkovsky a non seulement consolidé sa place dans l'alignement, mais il a également démontré un niveau de jeu qui laisse entrevoir un avenir prometteur pour le Canadien de Montréal.

L'affirmation de Martin St-Louis selon laquelle il ne faisait pas confiance à Jean-François Houle pour encadrer Juraj Slafkovsky peut sembler audacieuse, mais les résultats parlent d'eux-mêmes.

En maintenant sa position et en préservant le jeune Slovaque au sein du CH, St-Louis a prouvé qu'il est prêt à prendre des décisions difficiles pour le bien de l'organisation.

Après tout, le grand patron...c'est St-Louis...

Le maître du Country Club..

Le développement réussi de Slafkovsky est une victoire pour St-Louis,,,mais une défaite pour Jean-François Houle..qui semble vivre sur du temps emprunté à Laval...

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