Le climat médiatique entourant Martin St-Louis, a récemment pris une tournure particulière. Et tout ça est en lien avec la nomination de Patrick Roy en tant qu'entraîneur-chef des Islanders de New York.

Aujourd'hui, le coach en chef était de toute évidence de mauvaise humeur. Son attitude distante et bête envers les journalistes en conférence de presse "puait au nez".

Ses réponses peu coopératives, voire même de désagréables, alimentent ainsi les spéculations sur une possible frustration de la part de St-Louis.

Cette source de tension est liée à l'injonction apparente imposée aux journalistes de ne pas aborder le sujet sensible de Patrick Roy, et ce, malgré la nomination de ce dernier en tant qu'entraîneur-chef des Islanders de New York.

La consigne de ne pas solliciter les réactions de St-Louis à ce sujet semble renforcer une sorte de loi du silence au sein de l'équipe, provoquant des murmures sur une possible volonté de protéger l'entraîneur en chef des éventuelles répercussions médiatiques.

On peut comprendre pourquoi Réjean Tremblay compare le Canadien de Montréal à une mafia, suggérant que l'équipe chercherait à contrôler l'information pour préserver la tranquillité de St-Louis.

La crainte serait que les liens profonds entre les partisans québécois et Patrick Roy puissent créer une atmosphère inconfortable pour St-Louis, susceptible de le mettre mal à l'aise.

La jalousie est une émotion complexe qui peut engendrer des réactions variées dans la vie. Tant qu'on va interdire aux journalistes de parler de Patrick Roy à St-Louis, on se dira que la jalousie n'est jamais bien loin...

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