Le Canadien de Montréal a besoin absolument d'un buteur. C'est écrit dans le ciel. Un gars capable de la mettre dedans. Cole Caufield a 6 maigres buts cette année. 

Il a trop de pression sur les épaules pour marquer. Il a besoin d'un autre buteur pour lui laisser de l'air afin qu'il soit un peu "déstressé" au niveau des attentes du public.

Nous avons un seul non: Andrei Kuzmenko. Envoyé dans les gradins par le coach des Canucks, Rick Tocchet, l'attaquant va perdre patience. Surtout que cela fait deux matchs de suite où il subit l'humiliation publique de devoir regarder le match de la passerelle. 

On parle d'un joueur qui a marqué 39 buts la saison dernière. 39 buts, 34 passes pour 74 points en 81 matchs. Le fait de le punir la saison suivante en lui faisant réchauffer le banc est ridicule.

Il faut dire qu'il a marqué trois maigres but cette saison. (il a toutefois amassé 11 passes pour 14 points en 19 matchs). Mais Kuzmenko ne semble plus faire partie des plans de Tocchet. Le coach l'a puni pour une séquece contre le Colorado où Kuzmenko abandonne totalement. 

Tocchet pense que le Russe ne fait pas les efforts nécessaires défensivement. Le conflit semble de plus en plus profond entre l'ailier gauche et son entraîneur-chef.

Voilà la preuve que Martin St-Louis devrait prendre notes sur la façon de montrer son autorité. Imaginez si Kuzmenko est envoyé dans les gradins et rappelez-vous que Josh Anderson a joué 76 minutes d'avantage depuis le début de la saison.

Imaginez si Rick Tocchet était entraîneur-chef du Canadein de Montréal. Anderson en jouerait plus jamais un match de l'année.

Dommage que le CH n'a rien à offrir aux Canucks pour Kuzmenko.

On parle d'un ailier droit qui serait parfait aux côtés de Nick Suzuki et Cole Caufield. Les Canucks sont à la recherche d'un défenseur droitier défensif pour leur 3e paire. On s'entend que ce n'est pas Jonathan Kovacevic qui va les convaincre de nous envoyer Kuzmenko.

Son contrat est valide jusqu'en 2025 à un salaire annuel de 5,5 M$. Le même salaire que Josh Anderson.

Misère...on va pleurer...

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