Il semble que le malheureux cycle d'auto-sabotage de Brendan Gallagher se soit poursuivi de manière flagrante lors du match de ce soir, où une pénalité stupide de sa part a une fois de plus coûté cher à son équipe.
Les journalistes n'ont pas manqué de souligner que Gallagher semble être pris dans une spirale néfaste, conscient de ses limitations de plus en plus évidentes dans la LNH. Sa frustration et son sentiment d'impuissance semblent l'avoir poussé à adopter une approche de plus en plus destructive sur la glace.
Martin St-Louis, qui n'a pas mâché ses mots devant les journalistes après la rencontre, a directement pointé du doigt l'erreur de Gallagher.
« Ce n’est pas une pénalité qu’il avait besoin de prendre et il le sait », a déclaré St-Louis, exprimant ainsi le ras-le-bol grandissant envers le comportement coûteux du joueur. Il est clair que l'entraîneur en a assez de porter le fardeau que représente Gallagher pour l'équipe.
Il semble que le moment soit venu pour une intervention décisive. Il est largement anticipé que Martin St-Louis prendra des mesures en coulisses, poussant la direction de l'équipe, dirigée par Kent Hughes, à envisager sérieusement de racheter le contrat de Gallagher à la première opportunité cet été. Le consensus émerge que l'éléphant dans la pièce est devenu trop encombrant pour être ignoré plus longtemps.
Le destin de Gallagher, autrefois un joueur apprécié et utile, semble désormais inévitablement lié à sa propre descente aux enfers.
Alors que la fin de sa carrière professionnelle semble se profiler, il est triste de constater que son héritage dans la ligue risque d'être entaché par ses propres actions auto-destructrices.
En fin de compte, il semble que le moment soit venu pour toutes les parties impliquées de prendre des décisions difficiles pour le bien de l'équipe et de l'individu lui-même.
Le malaise a assez duré. Gallagher n'est plus un joueur de la LNH. Il est temps de l'accepter