- Maxim Lapierre a BRAILLÉ sur les ondes de TVA Sports...
- ÉMOTIF en SALE quand il revient dans le PASSÉ...
«Quand tu ouvres les portes, tu entends la foule, tu entends la musique. Tu te sens un peu comme un gladiateur; le spectacle s’en vient et c’est quelque chose de gros».
«J’ai toujours eu l’impression que j’avais gagné un concours. Chaque match venait me chercher profondément, comme si c’était garanti que c’était le dernier.»
«Je vais raconter une anecdote bizarre un peu, mais je le faisais sans farce. Je regardais toujours la photo de Maurice Richard et je lui disais: "merci d’avoir fait ça pour moi et d’avoir ouvert les portes". Ça venait me chercher. Le "feeling" et la passion, d’avoir le goût de brailler, ça me faisait ça à chaque match. Je comprenais la passion et l'histoire du Canadien à ce point-là.»
«C’est le Canadien de Montréal, tu fais partie de l’histoire même si c’est un match hors-concours. Il y a trop de belles choses qui se sont construites avant. Tu ne peux pas arriver là et faire dans la demi-mesure, ça n’a aucun sens.»
«On faisait des allers-retours à Hamilton. Je pense que c’est bon. On parle souvent des jeunes qui vont dans les ligues mineures. Tu apprends à te découvrir toi-même. Tu n’apprends pas à jouer au hockey; tu apprends à jouer comme un professionnel, à devenir un professionnel à l’extérieur aussi.»
«Honnêtement, quand je regarde en arrière, je trouve ça bien d’avoir fait [mes débuts dans la LNH] au compte-gouttes comme cela. Quand tu es [cédé] dans la LAH, tu es très confiant et tu as un plus gros rôle. Et quand tu remontes, tu es plus confiant parce que tu avais un plus gros rôle dans les mineures. C’est la bonne façon pour éduquer un jeune.»
«On a eu un sauveur qui est arrivé en séries, un dénommé Carey Price. Moi, j’étais un jeune joueur, mais je regardais les vétérans autour dire : "voyons qu’il arrive du junior et que c’est notre gardien partant. Le gars devrait peut-être faire ses classes". Le discours a changé après le premier match!»
«Je l’ai défendu beaucoup cette année quand ça allait mal et que les gens disaient qu’il ne voulait plus être à Montréal. Moi, je sais que c’est le contraire. Il a eu l’opportunité de partir souvent. Si ça ne lui tentait plus, on s’entend qu’il monterait et qu’il dirait: "je ne veux plus jouer ici". Mais il est très attaché à l’organisation.»