Maxim Lapierre, l'ancien joueur des Canadiens de Montréal, semble avoir entamé une vendetta personnelle contre Trevor Zegras, attaquant des Ducks d'Anaheim.

Cette animosité persistante de Lapierre envers Zegras ne passe pas inaperçue, surtout dans une ville où tout le monde attend avec impatience l'arrivée de Zegras via une transaction.

Ce qui est ironique, c'est de voir un ancien joueur considéré comme un "plombier" comme Lapierre se permettre de regarder de haut un talent brut tel que Zegras.

«Il a un talent extraordinaire. Il a des mains extraordinaires. Un lancer, de la créativité, il a l’attitude d’un gars confiant et c’est correct." (crédit: TVA Sports)

"Par contre, il faut regarder ça et est-ce que c’est un joueur avec qui on peut gagner une coupe Stanley? Je sais que les partisans veulent l’avoir et ça fait longtemps qu’on n’a pas eu de gars d’avantage numérique. Mais peux-tu remporter une coupe Stanley avec Trevor Zegras qui joue 20 à 22 minutes par soir?"

"Moi, j’en doute. Mais peut-être que je me trompe. Mais je ne vois pas en Trevor Zegras, le profil de joueur que je veux qu’on aille chercher. Je veux qu’on aille chercher un joueur de séries. Un Brad Marchand. Un Patrice Bergeron.»

Il semble oublier que pour conquérir la coupe Stanley, il faut plus que de simples travailleurs acharnés sur la glace, il faut du talent pur et dur.

Certes, on peut arguer que Zegras peut avoir une attitude problématique et une réputation discutable, mais personne ne peut nier son talent inné.

Il possède des habiletés sur la glace qui dépassent largement les simples fonctions de "plombier" comme Lapierre pourrait le penser.

Une chose est sûre: le Québec est derrière Zegras à 100 pour cent. Entre le plombier Lapierre et le prodige d'Anaheim...le choix est facile...

Il est essentiel de se rappeler que dans ce sport, le talent est souvent la clé du succès. Et même si Zegras peut avoir ses défauts, il ne faut jamais sous-estimer son potentiel à contribuer à la victoire d'une équipe.

Peut-être est-il temps que Lapierre réalise que pour gagner, il faut bien plus que des coups d'épaule et des efforts physiques ; il faut aussi un flair pour repérer et apprécier le talent brut sur la glace.

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