Il ne suffit plus à Louis Morissette de s’attaquer à Nick Suzuki, Lane Hutson, Jacob Dobes et l’ensemble du Canadien de Montréal. Cette fois, sa cible est encore plus surprenante : Mitch Marner.
Oui, Mitch Marner, un joueur étoile, un attaquant élite qui cumule les saisons de 90 points et plus... et qui, cet été, pourrait devenir l’une des acquisitions les plus importantes pour les Canadiens depuis des décennies.
Alors que toute la ville de Montréal rêve de voir Marner en bleu-blanc-rouge, Morissette, fidèle à lui-même, préfère s’attaquer au talent pur et chercher des poux là où il n’y en a pas.
« Je ne veux pas de Marner. »
C’est littéralement ce que Louis Morissette a osé déclarer, avant de se lancer dans une critique insensée contre l’ailier étoile des Maple Leafs.
« Marner. Ark ! Il va faire 90 points en saison régulière. Bien oui. Puis, on va arriver dans les séries et il aura l’air de Plécanec. »
« Il a joué des parties que c’était gênant comparé à d’autres. En tout cas, moi, je ne l’aime pas beaucoup. Ce n’est pas pour rien que Toronto n’a jamais gagné avec ce gars-là. »
Tout cela alors que Marner vient de briller lors du Tournoi des 4 Nations et que, malgré les difficultés en séries de Toronto, son talent ne fait aucun doute.
Mais Louis Morissette, qui adore se mettre à dos les partisans du Canadien, préfère insister :
« Le puck s’en va sur le bord de la bande. Tu le regardes aller… Mais quel chemin il a pris pour éviter de se faire frapper ! Il m’énerve. C'est un jaune. »
On savait Louis Morissette borné. On savait qu’il détestait l’enthousiasme autour de certains joueurs et qu’il prenait un malin plaisir à nager à contre-courant.
Mais là, il pousse l’absurdité à un niveau supérieur.
Quand une ville entière rêve d’avoir un joueur d’élite comme Marner, lui préfère le descendre.
Pourquoi s’en prendre à un joueur qui améliorerait immédiatement l’équipe et ferait de Montréal une puissance offensive ?
Morissette ne sait plus comment se rendre pertinent.
Ses critiques sur Suzuki ont pris l’eau. Ses attaques contre Lane Hutson sont devenues risibles. Son mépris envers Jacob Dobes est déjà oublié.
Et maintenant, il se tire une balle dans le pied en affirmant que Mitch Marner n’est pas un bon joueur ?
C’est exactement ce qu’il a fait avec Nick Suzuki.
Il l’a détruit. Il l’a méprisé. Il a même suggéré de lui retirer le “C” pour le donner à Kaiden Guhle.
Mais aujourd’hui ?
Suzuki est un centre élite. Suzuki est un leader. Suzuki prouve à tout le monde qu’il est un vrai. Morissette se trompe encore une fois.
Mitch Marner à Montréal ? Toute la ville en rêve. Sauf Morissette.
C’est là que l’absurdité atteint son apogée. Morissette admet que Marner amènerait du talent à l’équipe. Mais il continue de chialer.
Ce gars-là ne veut jamais être heureux.
On pourrait signer un attaquant du calibre de Mitch Marner sans sacrifier d’actifs, et il trouve encore le moyen de s’opposer.
À quoi joue-t-il ?
Pourquoi un gars qui se dit fan de hockey fait tout pour détester les meilleurs joueurs de la planète ?
C’est questionnant.
Suzuki n’était pas un premier centre. Hutson n’était qu’un défenseur gadget. Dobes était surestimé. Maintenant, Marner est un lâche et un joueur inutile.
Louis Morissette est-il capable d’apprécier un joueur ?
Ou a-t-il simplement besoin d’être un hater en permanence pour attirer l’attention ?
Le problème, c’est que ses prises de position deviennent de plus en plus ridicules et pathétiques.
Si Morissette avait raison sur tout, Suzuki ne serait pas un centre élite. Hutson ne serait pas un espoir convoité. Le CH ne serait pas dans la course aux séries.
Et maintenant, il veut faire croire que Montréal devrait passer son tour sur Mitch Marner ?
C’est risible. C’est déconnecté de la réalité.
Et c’est la preuve ultime que Morissette est incapable de reconnaître le talent, même quand il lui saute aux yeux.
Louis Morissette, reconnu coupable… encore une fois.
Coupable d’être incapable d’apprécier le talent.
Coupable de vouloir nager à contre-courant juste pour se faire remarquer.
Coupable de mépriser tout ce qui pourrait améliorer le Canadien.
Mais surtout…
Coupable d’être devenu une caricature de lui-même.
Il y a des moments dans la vie d’un fan de hockey où une opportunité se présente, et celle-ci est tout simplement trop belle pour être ignorée.
La possibilité d’ajouter un talent pur comme Mitch Marner à l’alignement du Canadien de Montréal n’est pas simplement une chance, c’est la chance d’une vie.
Si certains, comme Louis Morissette, continuent à s’opposer à cette idée, la vérité est qu’une signature de Marner serait un coup de maître pour Kent Hughes et l’avenir du CH.
Marner est l’élément qui manque à cette équipe pour devenir une puissance offensive à l’échelle de la LNH, et son arrivée à Montréal pourrait bien marquer un tournant dans l’histoire du club.
Alors que les critiques de Morissette se concentrent sur les failles de Marner en séries, la réalité est que son jeu offre exactement ce que le Canadien de Montréal recherche : de la créativité, de la vitesse et de la capacité à changer le cours d’un match.
Un joueur comme Marner, capable de transformer n’importe quelle ligne, serait un atout immédiat pour un Tricolore qui est en train de sortir de sa reconstruction.
Et pourquoi Marner à Montréal ? Ce n’est pas seulement une question de talent, mais de complémentarité avec l’équipe actuelle.
L’ajout de Marner à une ligne avec une vedette comme Ivan Demidov serait explosif. Leur duo pourrait devenir l’un des plus redoutables de la LNH, une menace constante pour les défenseurs adverses.
Pendant ce temps, Louis Morissette le traite de jaune. Triste vie...