- Tout le monde le sait à Montréal..

- Alexander Radulov avait un GROS GROS problème de BOISSON et de P-O-U-D-R-E.

- Lorsqu'il jouait pour le Canadien de Montréal, il était vu constamment au SOUBOIS devant des litres de VODKA et une montage de SUCRE BLANC...

- Patrick Roy aurait pu avertir les dirigeants du CH.

- Selon 

«Dans nos premières années, il fallait surveiller quelques joueurs parfois. C’était le cas d’Alexander Radulov. On est arrivés à Moncton un soir et on savait qu’il avait des liens forts avec un des joueurs des Wildcats, qui était russe lui aussi. On avait averti des gens de l’hôtel: “Si jamais vous voyez des joueurs qui quittent l’hôtel, avertissez-nous.”

Ça n’a pas été long que j’ai reçu un appel... J’ai dit: “Pat, je crois qu’on a un gars qui vient de quitter!” On est allés voir les caméras de surveillance et on a vu Radulov sortir la tête dans le corridor, regarder s’il y avait du monde, puis quitter l’hôtel. Il l’avait appelé sur son cellulaire pour lui dire: “Hé, Radu, on t’attend dans le lobby, tu reviendras le plus rapidement possible.” Il était revenu vite, tout perdu. On en a ri.»

Martin Laperrière, adjoint de Patrick Roy de 2005 à 2013 et de 2018 à 2020

- Si le ROI avait COACH du CH...

- Vous pouvez être certains qu'il aurait protégé Alex Galchenyuk des mauvaises infliuences de Brandon Prust et Maripier Morin et le jeune ne serait pas tombé dans l'enfer de la D-R-O-G-U-E.

- Patrick est comme un ROI PROTECTEUR.

- Rien ne peut lui passer sous le nez...

- Même quand il MANGE un STEAK...

«Chaque hiver, je restais un peu avec Pat à sa maison, parce que ma famille de pension était au Mexique. Il y avait ses fils, Radu [Alexander Radulov] aussi était là une année. On était une gang de jeunes. Mais un soir, on soupait ensemble juste lui et moi, et on regardait un match de hockey.

Un joueur a déjoué un défenseur et a foncé au filet. C’était silencieux et Patrick s’est levé en criant: “Tu vois, c’est comme ça que tu dois faire. Tu fonces au filet!” J’étais en train de manger mon steak et je l’ai regardé en disant: “oui, oui, oui.” Il était toujours allumé.»

«Aussi, le soir, quand on perdait et qu’on n’avait pas bien joué, je me dépêchais de rentrer et d’aller à ma chambre. J’attendais qu’il soit couché pour aller à la cuisine et me faire à manger, parce qu’il n’était pas content quand on perdait!»

Angelo Esposito que Patrick Roy a entraîné de 2005 à 2008

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